Disco Funk

Artistes disco : les légendes à écouter sur Radio Funk

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Arrière-plan
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L’essentiel à retenir : bien loin des clichés, le disco constitue la fondation absolue de la dance music actuelle. Des hymnes de Donna Summer au génie rythmique de Chic, ces pionniers ont façonné un groove immortel influençant encore la pop mondiale. C’est une culture vibrante à explorer d’urgence, notamment via nos sets exclusifs à écouter sur Mixcloud.

Vous en avez assez des playlists fades qui oublient systématiquement les légendes qui ont vraiment mis le feu aux pistes de danse ?

J’ai compilé spécialement pour vous la liste définitive des artistes disco à écouter sur Radio Funk pour comprendre enfin l’essence de ce mouvement culte.

Attendez-vous à redécouvrir des voix puissantes et des lignes de basse monstrueuses qui vont instantanément transformer votre salon en un club new-yorkais survolté.

  1. Les reines du disco : les voix qui ont défini le genre
  2. Les groupes légendaires : les architectes du son disco
  3. Les pionniers et les innovateurs : ceux qui ont repoussé les limites
  4. Les trésors cachés et les figures du disco-funk
  5. Le post-disco et l’héritage : comment le disco a survécu à sa propre « fin »
  6. La sélection ultime des artistes disco sur Radio Funk

Les reines du disco : les voix qui ont défini le genre

Donna Summer : la reine incontestée du disco

On ne peut pas parler de disco sans s’incliner immédiatement devant Donna Summer.

C’est la « Queen of Disco », un titre qu’elle n’a pas volé. Son impact dépasse de loin les simples boules à facettes.

Avec Giorgio Moroder, elle a tout simplement réécrit les règles du jeu musical.

Prenez « I Feel Love », sorti en 1977, qui a divisé l’histoire de la pop en deux.

Ce n’était pas juste une chanson, c’était le futur qui débarquait avec des synthétiseurs froids.

C’est le big bang de la musique électronique moderne.

Avant ça, elle avait déjà choqué l’Amérique avec la sensualité brute de « Love to Love You Baby ».

Et que dire de l’énergie pure de « Last Dance » ?

Elle reste la référence absolue, celle que tout le monde copie sans jamais l’égaler.

Si vous aimez la pop actuelle, vous aimez Donna Summer sans le savoir.

C’est une icône indétrônable pour les amateurs du genre.

Vous avez besoin de cette dose d’histoire musicale dans vos oreilles.

Ses albums tournent en boucle chez nous, c’est un pilier de notre programmation.

Alors, foncez écouter ça sur Radio Funk.

Gloria Gaynor : l’hymne à la résilience

Gloria Gaynor, c’est souvent résumé à un seul titre colossal par le grand public.

C’est dommage, car sa carrière est bien plus riche que ça.

Pourtant, impossible d’ignorer la tornade qui a balayé la planète.

Elle est indissociable de ce moment de grâce.

L’impact de « I Will Survive » est juste hallucinant quand on y pense.

Ce n’est pas qu’un tube disco, c’est un véritable hymne de résilience et d’émancipation pour ceux qui ont souffert.

Tout le monde s’y retrouve, peu importe son histoire.

N’oublions pas qu’elle cartonnait déjà avec « Never Can Say Goodbye » bien avant ce succès.

Cela prouve sa longévité incroyable dans un genre souvent jugé éphémère.

Ce qui la sauve du lot, c’est cette voix puissante, chargée d’une émotion brute.

Elle ne chante pas pour faire joli, elle chante pour survivre.

C’est ça qui la distingue des autres divas.

Pour vraiment saisir l’âge d’or du genre, il faut se pencher sur les artistes disco qui ont façonné le son 70.

Gloria Gaynor en est l’exemple parfait. Elle incarne cette époque bénie.

Chaka Khan : la bombe énergétique du disco-funk

Chaka Khan, c’est une bombe à retardement prête à exploser à chaque note.

Son énergie explosive et sa voix unique la placent pile à la croisée du disco, du funk et de la soul.

Avec le groupe Rufus, elle avait déjà tout cassé.

Puis arrive son tube solo « I’m Every Woman », écrit par Ashford et Simpson.

C’est un manifeste de puissance féminine qui résonne encore aujourd’hui.

Un titre qui a traversé les décennies sans prendre une seule ride.

Pensez aussi à « Ain’t Nobody » avec Rufus, un autre classique intemporel.

Ce morceau enflamme encore n’importe quelle piste de danse digne de ce nom.

Son influence est gigantesque, touchant des légendes comme Whitney Houston ou Mary J. Blige.

Son style vocal a littéralement défini une bonne partie du son R&B moderne.

Elle a ouvert la voie pour toutes les autres.

Chaka Khan est l’incarnation même du groove éternel, sans aucun doute possible.

C’est une artiste essentielle à toute playlist qui se respecte. Si vous ne l’écoutez pas, vous ratez l’essence du funk.

Les groupes légendaires : les architectes du son disco

Après les divas qui ont porté le disco avec leurs voix, penchons-nous sur les groupes qui ont bâti les fondations rythmiques et mélodiques de ce mouvement.

Chic : le groove minimaliste et ultra-élégant

Oubliez les paillettes bon marché, Chic incarne la classe absolue et la sophistication du disco.

À la barre de ce navire, on trouve un duo de génies : Nile Rodgers à la guitare et Bernard Edwards à la basse.

Leur signature sonore est inimitable : une section rythmique implacable, cette guitare funky surnommée « The Chuck » et des arrangements de cordes somptueux.

C’est la définition même du disco chic, propre et redoutable.

Impossible de passer à côté des hymnes « Le Freak » et « Good Times ».

D’ailleurs, saviez-vous que « Good Times » a directement inspiré l’un des tout premiers tubes du hip-hop, « Rapper’s Delight » ?

Ces types étaient des machines ; ils ont aussi produit des pépites pour d’autres artistes comme Sister Sledge (« We Are Family ») et Diana Ross (« Upside Down »).

L’histoire du disco est indissociable du son de Chic, qui a défini le groove pour les années à venir.

Ça résonne très fort avec aujourd’hui.

Bee Gees : les rois de la bande-son de « Saturday Night Fever »

Qui aurait parié sur trois frères venus de la pop-folk ?

Pourtant, les Bee Gees ont opéré une transition spectaculaire vers le disco.

Le film « Saturday Night Fever » les a propulsés au rang de superstars mondiales.

Leur son caractéristique repose sur des harmonies vocales uniques et la voix de fausset perçante de Barry Gibb.

Écoutez « Stayin’ Alive », « Night Fever » et « You Should Be Dancing », c’est de la précision chirurgicale.

La bande originale du film reste l’un des albums les plus vendus de tous les temps, cimentant définitivement la place du disco.

Certes, ils ont subi de plein fouet la critique « Disco Sucks » à la fin de l’ère, mais il faut être honnête : la qualité indéniable de leurs compositions surpasse tout.

Au final, leur contribution est massive et leurs morceaux restent des classiques absolus des années 70 et 80.

Vous les entendrez toujours tourner en boucle.

Earth, Wind & Fire : la fusion cosmique du funk, de la soul et du disco

Earth, Wind & Fire est bien plus qu’un simple groupe de disco, c’est une institution.

Leur musique est un mélange ambitieux de funk, soul, jazz et rythmes africains, le tout saupoudré d’une touche disco irrésistible.

Dès les premières notes de tubes comme « September » et « Boogie Wonderland », on ressent quelque chose de physique.

La joie et l’optimisme communicatifs qui se dégagent de leurs morceaux sont uniques.

La richesse de leurs arrangements force le respect : des sections de cuivres puissantes, des harmonies vocales complexes et une énergie scénique légendaire.

C’est du grand art.

Ils se distinguaient aussi radicalement des autres groupes de l’époque par leur imagerie cosmique et une spiritualité omniprésente.

Leur musique est une célébration de la vie et du groove, un incontournable de la playlist de Radio Funk.

C’est le genre de son qui ne vieillit jamais.

Les pionniers et les innovateurs : ceux qui ont repoussé les limites

Au-delà des têtes d’affiche habituelles, le disco a été façonné par des visionnaires audacieux qui ont trituré le son et la production, créant des sous-genres fascinants et influençant l’avenir de la musique bien plus qu’on ne le croit.

Manu Dibango et l’afro-disco inattendu

Manu Dibango n’est pas seulement une légende du jazz, c’est un pionnier inattendu du disco qui a bousculé les codes.

Son morceau « Soul Makossa » de 1972 est souvent cité comme l’un des tout premiers enregistrements disco de l’histoire.

C’est un choc pour ceux qui pensent que le genre est né uniquement aux États-Unis.

Le groove africain a tout déclenché.

La trajectoire de « Soul Makossa » est tout simplement dingue quand on y pense.

D’une simple face B pour l’hymne de la Coupe d’Afrique des Nations, le titre est devenu un hit underground incontournable dans les clubs new-yorkais.

Les DJs se l’arrachaient littéralement.

Son influence est monumentale, surtout grâce à ce chant hypnotique : « Mama-ko, mama-sa, mako-mako-ssa ».

Michael Jackson l’a repris sans vergogne, prouvant la puissance de ce hook.

C’est une ligne qui traverse les époques.

Ce titre a jeté un pont solide entre les rythmes africains bruts et la scène clubbing américaine naissante.

Une fusion parfaite.

Cet exemple montre parfaitement comment le disco français a eu un impact international bien avant l’explosion du genre, prouvant que le groove n’a pas de frontières et voyage vite.

Le son de Philadelphie : la soul orchestrale qui a nourri le disco

Il faut se rendre à l’évidence : le disco ne vient pas de nulle part et ne s’est pas fait tout seul.

Il doit une fière chandelle au Philadelphia Sound (ou Philly Soul) du début des années 70.

Les architectes de ce son sont les producteurs Gamble & Huff, de véritables génies.

Le Philly Sound se distingue par des arrangements de cordes luxuriants, des lignes de basse funk qui claquent et des rythmes syncopés.

Ces éléments ont posé toutes les bases techniques et artistiques du disco.

C’est la fondation même du genre.

On pense immédiatement à des artistes emblématiques de ce mouvement comme The O’Jays (« Love Train »), Harold Melvin & the Blue Notes (« The Love I Lost ») et bien sûr MFSB (« TSOP (The Sound of Philadelphia) »).

Ces noms résonnent encore fort aujourd’hui.

N’oubliez pas que « TSOP » était le générique de l’émission « Soul Train », qui a largement contribué à populariser cette musique partout.

Pour vraiment comprendre les racines du disco, il faut explorer l’histoire du Philadelphia Sound, véritable berceau du groove orchestral qui a permis à la musique de danse de devenir ce phénomène mondial.

Cerrone : le disco européen, symphonique et conquérant

Le Français Cerrone s’impose comme une figure majeure et incontestée de l’Eurodisco, bien loin des clichés.

Ce batteur et compositeur a créé un son disco monumental et orchestral qui a tout balayé sur son passage.

Il a su rendre la batterie sexy à nouveau.

Regardez son album « Supernature », c’est une œuvre d’art à part entière.

Ce concept-album de science-fiction, avec ses synthétiseurs planants et sa narration étrange, a marqué les esprits durablement.

C’était audacieux, bizarre et génial.

Il faut aussi mentionner son premier hit, « Love in C Minor », pour son format long et audacieux.

C’était taillé sur mesure pour les clubs.

Sa popularité massive aux États-Unis a prouvé une chose essentielle : le disco n’était pas un monopole américain.

Cerrone a vendu des millions d’albums outre-Atlantique, damant le pion aux locaux.

C’est une performance rare pour un Français.

Cerrone représente une facette plus sombre, plus électronique et nettement plus ambitieuse du disco.

C’est clairement une influence majeure pour la French Touch qui arrivera bien plus tard.

Le cas ABBA : de la pop à la conquête du dancefloor

Abordons le cas ABBA, car on ne peut pas les ignorer quand on parle de faire danser la planète.

Bien qu’ils soient avant tout un groupe de pop, leur musique a massivement intégré les codes du disco à partir du milieu des années 70.

Ils ont flairé la tendance.

Prenez « Dancing Queen », c’est l’exemple parfait et absolu de leur disco-pop millimétrée.

On peut aussi citer des bombes comme « Gimme! Gimme! Gimme! (A Man After Midnight) » et « Voulez-Vous ».

Impossible de rester assis là-dessus.

Leur génie mélodique et la qualité chirurgicale de leur production ont permis à leurs chansons de devenir des classiques intemporels des pistes de danse.

Même les puristes du funk finissent par céder.

Les trésors cachés et les figures du disco-funk

Oubliez les géants une seconde, on va creuser plus profond.

Il faut dénicher ces pépites qui ont bâti le pont solide entre le funk brut et le disco pur.

Evelyn « Champagne » King : la jeune prodige du groove

Vous ne devineriez jamais comment cette histoire incroyable commence.

Evelyn nettoyait littéralement les toilettes des studios Sigma Sound quand le producteur T. Life l’a entendue chanter par hasard.

Elle n’était qu’une gamine avec un balai, mais sa voix a tout changé.

Puis « Shame » est arrivé, et les dancefloors ne s’en sont jamais remis.

C’est un classique absolu du disco-funk, propulsé par une puissance vocale qui semblait impossible pour son jeune âge.

Elle ne s’est pas arrêtée là, loin de là, croyez-moi.

Avec « Love Come Down », elle marque ce virage soigné vers le son boogie et synthétique du début des années 80.

Elle est devenue l’icône involontaire du roller disco.

Son style a défini cette vibe rebondissante que nous chassons encore aujourd’hui.

Pour saisir toute la nuance, écoutez-la attentivement maintenant.

Elle fait partie de ces artistes disco funk à écouter sur Radio Funk pour comprendre la richesse du genre.

Kool & The Gang : l’évolution du funk vers le disco-pop

Mettons les choses au clair sur ce groupe légendaire. Ils n’ont pas débuté avec des paillettes, mais comme des pionniers du jazz-funk pur avec des titres granuleux comme « Jungle Boogie ». « Hollywood Swinging », c’était la rue, pas le club.

Tout a basculé avec l’arrivée stratégique de James « J.T. » Taylor au micro. Ils ont opéré un virage serré vers un son pop et disco que les puristes ont détesté, mais que le monde a adoré.

Impossible d’ignorer les résultats de cette mutation audacieuse. « Celebration », « Get Down on It » et « Fresh » ne sont pas juste des chansons, ce sont des monuments planétaires.

Ils ont maîtrisé l’art de l’hymne festif universel.

Essayez de trouver une fête digne de ce nom sans ces morceaux incontournables.

Cette transition réussie prouve que les frontières sont floues.

Elle montre la porosité entre funk et disco, un thème cher à Radio Funk.

Village People : plus qu’un phénomène visuel

On les réduit souvent à une simple soirée costumée, ce qui est une erreur.

Jacques Morali et Henri Belolo ont bâti un concept marketing sophistiqué autour de ces archétypes masculins comme le policier ou l’ouvrier.

Regardez au-delà de la moustache et du cuir un instant.

La production musicale derrière l’image était du disco de très haute volée, avec des refrains qui refusent de quitter votre cerveau.

Nous connaissons tous « Y.M.C.A. » et « Macho Man », évidemment. Avec « In the Navy », ces titres sont devenus des phénomènes culturels mondiaux qui dépassent la simple musique.

Ils ont offert une visibilité massive à la culture gay.

C’était un geste audacieux à une époque où le sujet restait tabou.

Peu importe le côté « gimmick », le résultat est là. Village People a produit certains des morceaux les plus joyeux et emblématiques de l’ère disco.

Le post-disco et l’héritage : comment le disco a survécu à sa propre « fin »

On a souvent annoncé la mort du disco à la fin des années 70 avec une certitude déconcertante.

Pourtant, son esprit n’a jamais disparu des radars.

Il s’est simplement transformé, infusant d’autres genres et posant les bases techniques de la dance music moderne.

Le son boogie et les débuts des années 80

Vous pensez que le disco s’est éteint en 1979 ?

Faux, il a muté pour devenir le post-disco et le boogie.

C’est une évolution moins orchestrale, délaissant les violons pour une approche résolument plus électronique.

Ici, la ligne de basse et les synthétiseurs prennent le pouvoir absolu sur la mélodie.

Écoutez des pionniers comme D. Train avec son hymne incontournable « You’re the One for Me ».

Ou encore The Whispers et leur titre légendaire « And the Beat Goes On ».

Ces morceaux incarnent parfaitement cette transition sonore cruciale.

Pour reconnaître ce style instantanément, voici les marqueurs techniques indispensables :

  • Un tempo légèrement plus lent que le disco classique.
  • La basse slappée ou synthétique mise en avant.
  • Une utilisation massive des synthétiseurs et des boîtes à rythmes.
  • Des vocaux soulful et mélodieux.

Ce son brut a directement façonné le R&B des années 80 et la house music naissante.

C’est la fondation même du groove moderne tel qu’on le conçoit.

Cette fusion est au cœur de l’identité du disco funk, un genre qui continue de vivre sur les ondes.

Si tu rates ça, tu passes à côté de l’essentiel de l’histoire musicale.

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L’influence sur la house music et la dance

Le lien entre le disco et la naissance de la house music à Chicago au début des années 80 est indiscutable.

Des visionnaires comme Frankie Knuckles ne faisaient pas que passer des disques au Warehouse.

Ils remixaient activement des classiques disco pour les réinventer totalement.

La technique était radicale : isoler les breaks de batterie et rallonger les parties instrumentales à l’extrême.

Ensuite, ils ajoutaient une boîte à rythmes, souvent la mythique TR-808 ou 909, par-dessus pour durcir le beat.

Des titres visionnaires comme « I Feel Love » de Donna Summer sont ainsi devenus des fondations de la house.

C’était la matière première idéale pour ces expérimentations.

L’ADN du disco — ce rythme 4/4 hypnotique, la recherche du groove, la communion sur le dancefloor — reste intact.

C’est l’essence même de toute la dance music qui a suivi cette époque charnière.

Soyons clairs : sans le disco, il n’y aurait ni house, ni techno, ni la culture club telle qu’on la connaît aujourd’hui.

Tout part de cette énergie originelle.

Le revival disco au 21e siècle : de Daft Punk à Dua Lipa

Le disco n’est pas mort, il revient en force régulièrement dans la pop moderne pour dominer les charts.

Regarde Daft Punk avec leur album « Random Access Memories ».

C’était un hommage direct, assumé et brillant à l’ère disco qui a surpris tout le monde.

Ils ont collaboré avec la légende Nile Rodgers de Chic, bouclant ainsi la boucle historique avec brio.

Le tube planétaire « Get Lucky » en est la preuve flagrante et intemporelle.

Des artistes actuels comme Dua Lipa (« Future Nostalgia »), Bruno Mars (« 24K Magic ») ou The Weeknd suivent cette voie royale.

Ils ont tous puisé massivement dans l’esthétique disco et funk pour leurs plus grands hits.

Pourquoi ce son revient-il sans cesse ?

Il est synonyme de fête, de joie et d’évasion, des sentiments universels dont on a besoin.

Ce revival prouve que les classiques disco des années 70-80 sont une source d’inspiration inépuisable.

Ne laisse pas ta playlist prendre la poussière, branche-toi sur le groove.

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La sélection ultime des artistes disco sur Radio Funk

Le top 10 des artistes incontournables de notre playlist

Vous pensez connaître le disco ? Attendez de voir les monstres sacrés qui tournent en boucle chez nous.

Voici le panthéon, la crème de la crème qui définit l’identité sonore de notre station.

Le Top 10 des Artistes Disco sur Radio Funk
Artiste Titre Emblématique Pourquoi on l’adore sur Radio Funk
Donna Summer « I Feel Love » La Reine, l’innovatrice, l’âme du disco.
Chic « Good Times » Pour la ligne de basse la plus samplée de l’histoire et l’élégance absolue.
Earth, Wind & Fire « September » L’injection de joie et de funk pure.
Gloria Gaynor « I Will Survive » L’hymne universel qui donne de la force.
Bee Gees « Stayin’ Alive » L’incarnation de la fièvre du samedi soir.
Kool & The Gang « Get Down on It » La fusion parfaite entre le funk et la pop festive.
Evelyn « Champagne » King « Love Come Down » Pour le groove irrésistible du post-disco.
Sister Sledge « We Are Family » Le son produit par Chic, un hymne à l’unité.
The Trammps « Disco Inferno » L’énergie brute et incendiaire du dancefloor.
Cerrone « Supernature » Pour la touche européenne, électronique et audacieuse.

Bref, ce tableau n’est qu’une mise en bouche.

L’univers du disco est bien trop vaste pour tenir dans une simple liste, mais c’est un excellent point de départ.

Comment le disco et le funk se mélangent sur nos ondes

Chez Radio Funk, on déteste les étiquettes rigides.

Pour nous, le disco et le funk sont deux faces de la même pièce, celle du groove absolu.

C’est la même énergie, juste habillée différemment.

Regardez James Brown. Il a posé les fondations rythmiques que le disco a ensuite polies et orchestrées.

C’est un dialogue constant entre la sueur du funk et les paillettes du disco.

Cette fusion est si riche qu’on y a consacré un article entier pour explorer la fusion soul-groove des années 70.

Notre programmation vise justement à mettre en lumière ces connexions évidentes.

On passe d’un classique disco à une perle funk sans aucune transition brutale.

C’est cette richesse harmonique qui rend cette musique intemporelle.

Elle reste pertinente aujourd’hui car elle parle directement aux hanches et au cœur.

Écoutez nos mixs pour une immersion complète

Lire sur la musique, c’est bien, mais l’écouter, c’est mieux.

La meilleure façon de comprendre l’impact de ces artistes disco est de les entendre mixés par des passionnés.

Nos DJs, comme DJ Tarek, ne sont pas de simples pousseurs de disques.

Ce sont des passeurs qui sélectionnent et assemblent ces pépites pour créer une expérience d’écoute unique.

C’est sur la plateforme Mixcloud que nous archivons ces sessions thématiques.

C’est là-bas que vous trouverez la vraie essence de notre travail de curation.

C’est aussi l’occasion rêvée de découvrir des versions longues (12-inch) et des raretés introuvables ailleurs.

Pour une dose massive de groove, retrouvez tous nos sets exclusifs à écouter sur Mixcloud.

Bref, le disco est immortel !

De Donna Summer aux Bee Gees, ces légendes ont façonné un groove indémodable.

Perso, je ne m’en lasse jamais.

Alors, pour vibrer non-stop, branchez-vous vite sur Radio Funk.

On vous balance le meilleur du son.

Allez, montez le volume et laissez la magie opérer

Funk, Soul & Paillettes : Le Panthéon Disco de la Duchesse de Barbès 

A

ABBA

– Al Hudson and the Partners

– Alton McClain & Destiny

– Andrea True Connection

– Arabesque

– Archie Bell & the Drells

Ashford & Simpson

– Atlantic Starr

B

– B.T. Express

– Babe Ruth

– Baccara

– Baciotti

– Barrabás

– Claudja Barry

– Bazuka

– Bee Gees

– Bell & James

– Belle Epoque

– Bill Anderson

– Bill Summers and Summers Heat

– Bionic Boogie

– Boney M.

– Booster

– Brass Construction

– Brenda and the Tabulations

– Brick

– The Brides of Funkenstein

C

– C.J. & Company

– Cab Calloway

– Capricorn

– Carl Carlton

– The Carpenters

– Ralph Carter

– CarCrash

– Cerrone

– The Chakachas

– Marilyn Chambers

– Gene Chandler

– Chanson

– Ray Charles

– Tina Charles

– Charo

– Cher

– Chéri

– Karen Cheryl

– The Chi-Lites

– Chic

– Chicago

– Chilly

– The Choice Four

– Chromium

– Chuck Cissel

– Claire

– Petula Clark

– Linda Clifford

– Natalie Cole

– The Commodores

– Norman Connors

– Annie Cordy

– Alec R. Costandinos

– Crown Heights Affair

– The Crusaders

– Chantal Curtis

– Clem Curtis

D

– Dadmandog

– Lupita D’Alessio

– Dalida

– Dalton & Dubarri

– Dana

– Sarah Dash

– Dave & Sugar

– Helen Davis

– Sammy Davis, Jr.

– DD Sound

– Dulce

– The Dells

– Lila Deneken

– Teri DeSario

– Daddy Dewdrop

– Gregg Diamond

– Disco-Tex and the Sex-O-Lettes

– The Doobie Brothers

– The Dooleys

– Double Exposure

– Carol Douglas

– Lamont Dozier

– Dr. Buzzard’s Original Savannah Band

– Dschinghis Khan

– Ronnie Dyson

E

– Charles Earland

– The Earls

– Earth, Wind & Fire

– Cleveland Eaton

– Electric Light Orchestra

– Yvonne Elliman

– Emily Starr Explosion

– The Emotions

– Eruption

– Gloria Estefan

F

– Yvonne Fair

– Percy Faith

– Faith, Hope & Charity

– Joe Farrell

– Fat Larry’s Band

– Fatback Band

– Wilton Felder

– Maynard Ferguson

– Ferrante & Teicher

– The Fiestas

– First Choice

– Roberta Flack

– The Floaters

– Flower

– Four Tops

– Foxy

– Aretha Franklin

– Frantique

– Funkadelic

G

– Juan Gabriel

– Bill Gaither Trio

– Patsy Gallant

– Gap Band

– Taana Gardner

– Leif Garrett

– Gary’s Gang

– Marvin Gaye

– Gloria Gaynor

– Andy Gibb

– Gibson Brothers

– Gladys Knight & the Pips

– GQ

– Lourett Russell Grant

– Al Green

H

– Marvin Hamlisch

– Herbie Hancock

– Harold Melvin & the Blue Notes

– Damon Harris

– Major Harris

– Dan Hartman

– Isaac Hayes

– Heatwave

– Wayne Henderson

– Herman Kelly and Life

– Patrick Hernandez

– Martha High

– High Inergy

– Lawrence Hilton-Jacobs

– Marcia Hines

– Loleatta Holloway

– Jimmy « Bo » Horne

– Hot Chocolate

– Cissy Houston

– Thelma Houston

I

– The Impressions

– Inner Life

– Instant Funk

– The Isley Brothers

J

– Paul Jabara

– Dee D. Jackson

– Jermaine Jackson

– Michael Jackson

– Mick Jackson

– Millie Jackson

– Walter Jackson

– The Jackson 5

– The Jacksons

– Jimmy James

– Rick James

– James & Bobby Purify

– Jean-Michel Jarre

– Jamiroquai

– Morris Jefferson

– Jimmy Castor Bunch

– Elton John

– Robert John

– John Davis and the Monster Orchestra

– Beverly Johnson

– General Johnson

– Sylvester Johnson

– France Joli

– Gloria Jones

– Grace Jones

– Jack Jones

– Quincy Jones

– Ronnie Jones

– Tamiko Jones

– Tom Jones

K

– Kamahl

– Madleen Kane

– Kat Mandu

– KC & the Sunshine Band

– Roberta Kelly

– Eddie Kendricks

– Chaka Khan

– Ben E. King

– Carole King

– Evelyn « Champagne » King

– Fern Kinney

– Kinsman Dazz

– Kiss

– Eartha Kitt

– Kleeer

– Gladys Knight

– Kool & the Gang

L

– L.A. Express

– La Bionda

– Labelle

– Patti LaBelle

– Cheryl Ladd

– Cherry Laine

– Lakeside

– Major Lance

– Nicolette Larson

– D.C. LaRue

– Stacy Lattisaw

– Bettye LaVette

– Amanda Lear

– Laura Lee

– Ranee Lee

– Rita Lee

– Peter Lemongello

– Ramsey Lewis

– Webster Lewis

– Lipps Inc.

– Liquid Gold

– Logg

– Trini Lopez

– Mary Love

– Love And Kisses

– Love De-Luxe

– Love Unlimited Orchestra

– L.T.D.

– Carrie Lucas

– Lucero

– Cheryl Lynn

M

– Ralph MacDonald

– Mandrill

– Barry Manilow

– Herbie Mann

– Kelly Marie

– Teena Marie

– Chuck Mangione

– Gap Mangione

– Al Martino

– Barbara Mason

– Harvey Mason

– Johnny Mathis

– Paul Mauriat

– Curtis Mayfield

– Janice McClain

– Van McCoy

– George McCrae

– Gwen McCrae

– McFadden and Whitehead

– Maureen McGovern

– Jimmy McGriff

– Sérgio Mendes

– Lucía Méndez

– The Meters

– MFSB

– Miami Sound Machine

– Michael Zager Band

– Michele

– Tony Middleton

– Bette Midler

– Luis Miguel

– Midnight Star

– Mighty Clouds of Joy

– Roger Miller

– Stephanie Mills

– Garnett Mimms

– Liza Minnelli

– The Miracles

– Meco

– The Monotones

– Jackie Moore

– Melba Moore

N

– Jeanne Napoli

– Johnny Nash

– David Naughton

– New Birth

– Olivia Newton-John

– Paul Nicholas

– Billy Nichols

– Nick Straker Band

– Maxine Nightingale

– Noël

– The Nolans

– Patrick Norman

O

– Rim Kwaku Obeng

– Billy Ocean

– Odyssey

– The Ohio Players

– The O’Jays

– The Olympic Runners

– One Way

– Yoko Ono

– Yukiko Okada

– The Originals

– Bobby Orlando

– Tony Orlando & Dawn

– Tony Orlando

– Osmonds

– Ottawan

P

– Gene Page

– Jeree Palmer

– Paradise Birds

– Dennis Parker

– Parliament

– Passion

– Billy Paul

– Paul McCartney & Wings

– Freda Payne

– Peaches & Herb

– David Peaston

– Lana Pellay

– Teddy Pendergrass

– Barbara Pennington

– People’s Choice

– Houston Person

– Elvis Presley

– The Persuaders

– Peter Jacques Band

– Esther Phillips

– Wilson Pickett

– Pink Lady

– The Players Association

– Bonnie Pointer

– Noel Pointer

– Pointer Sisters

– Michel Polnareff

– Billy Preston

– Prince

Q

– Stacey Q

– Queen

– The Quick

R

– The Raes

– Rahni Harris & F.L.O.

– Lou Rawls

– Ray, Goodman & Brown

– Raydio

– The Real Thing

– Sharon Redd

– Helen Reddy

– Martha Reeves

– Clarence Reid

– Regina Richards

– Rhythm Heritage

– Rick Dees & His Cast of Idiots

– Minnie Riperton

– Ripple

– The Ritchie Family

– Johnny Rivers

– Vicki Sue Robinson

– Kenny Rogers

– The Rolling Stones

– Sonny Rollins

– Daniela Romo

– Rose Royce

S

– Saint Tropez

– The Salsoul Orchestra

– Queen Samantha

– Samantha Sang

– Véronique Sanson

– Santa Esmeralda

– Santana

– Sarah Brightman & Hot Gossip

– Leo Sayer

– Boz Scaggs

– Harvey Scales

– Lalo Schifrin

– Gloria Scott

– Ambros Seelos

– Selena

– Shalamar

– Marlena Shaw

– Sheila and B. Devotion

– Shirley & Company

– Bunny Sigler

– Silver Convention

– Bebu Silvetti

– Joe Simon

– Lowrell Simon

– Sylvia Sims

– Julie Sitruk

– Sister Sledge

– Skyy

– Slave

– Percy Sledge

– O.C. Smith

– Gino Soccio

– Sophisticated Ladies

– S.O.S. Band

– David Soul

– Soul Children

– Soul Survivors

– Soul Train Gang

– Space

– The Spinners

– King Sporty

– Dusty Springfield

– Pamala Stanley

– Mavis Staples

– Stargard

– Edwin Starr

– Ringo Starr

– Candi Staton

– Steely Dan

– Amii Stewart

– Rod Stewart

– Tommy Stewart

– Street People

– Barbra Streisand

– The Stylistics

– Sunny

– Donna Summer

– Sunshine

T

– T-Connection

– A Taste of Honey

– Tavares

– Johnnie Taylor

– Laura Taylor

– Ted Taylor

– Telex

– The Temprees

– Joe Tex

– Evelyn Thomas

– Tasha Thomas

– Timmy Thomas

– Linda G. Thompson

– Three Degrees

– Harry Thumann

U

– USA-European Connection

V

– Jerry Vale

– Frankie Valli

– Luther Vandross

– Sylvie Vartan

– Vaughn Mason & Crew

– Tata Vega

– Village People

– Voggue

– Voyage

– VST & Company

W

– Narada Michael Walden

– Anita Ward

– Jeanette Washington

– Johnny « Guitar » Watson

– Bob Welch

– The Whispers

– Barry White

– Slim Whitman

– Andy Williams

– Carol Williams

– Lenny Williams

– Viola Wills

– Al Wilson

– Jackie Wilson

– Mary Wilson

– Wilton Place Street Band

– Wings

– Bill Withers

– Bobby Womack

– Stevie Wonder

– Carol Woods

– Nanette Workman

– Norma Jean Wright

Y

– Alka Yagnik

– « Weird Al » Yankovic

– John Paul Young

– Karen Young

– Yuri

Z

– Zdravo

– David Zed

– Zodiac

  • Zulema

Et vous, quel est VOTRE artiste disco préféré dans cette liste ?

Dites-le en commentaire ou votez sur  pour le prochain special Radiofunk.radio ! 

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