disco

Top Radio Funk 36 | Une plongée dans le monde du Funk | De Teddy Pendergrass à Beggar & Co.

today 514 90 5

Arrière-plan
share close
  • Chart track

    1

    play_arrow
    165435

    Only You

    Teddy Pendergrass [The Essential Teddy Pendergrass]

  • Chart track

    2

    play_arrow
    123348

    Indigenous Love

    Keni Burke [Nothin' But Love]

  • Chart track

    3

    play_arrow
    123348

    Real Thing-Seen To Smile

    Real Thing

  • Chart track

    4

    play_arrow
    123346

    Gypsy Lady

    Linda Clifford [The Right Combination]

  • Chart track

    5

    play_arrow
    123345

    Street Life

    Beggar & Co. [Free]

Top Radio Funk 36

🔥 « Le Funk ne meurt jamais, mes chéris… Il danse, il sue, il explose en riffs électriques et en basses qui vous retournent l’âme ! » 🔥

Bienvenue, mes grooveurs, mes dreamers, mes enfants de la nuit et du vinyle chaud !

Ici la Duchesse de Barbès, votre guide spirituelle sur les routes sinueuses du funk, votre complice dans les nuits où la musique est plus qu’un son – c’est une révolution, une prière, une étreinte qui vous secoue jusqu’aux os.

Aujourd’hui, on ne fait pas dans la demi-mesure : je vous embarque pour un classement atomique, une sélection ultra-vitaminée des titres funk qui font trembler les enceintes, vibrer les câbles et embraser les pistes de danse en 2025.

Parce que le funk, mes amours, ce n’est pas qu’un genre : c’est une philosophie de vie, une insurrection joyeuse contre la grisaille, un cri du cœur qui résonne de Detroit à Lagos, de Memphis à Paris.

top charts radio funk, les meilleurs chansons disco et funk chart top radio funk

Vous pensez connaître le funk ?

Vous croyez avoir tout entendu, tout dansé, tout transpiré ?

Accrochez-vous.

Ce classement, c’est du 100% dynamite pure, une compilation de pépites qui font exploser les frontières entre hier et aujourd’hui, entre underground et légendes immortelles.

Chaque titre ici présent a été choisi avec la précision d’un DJ en transe, le doigt sur le pouls d’une scène qui ne cesse de se réinventer.

On va parler de riff tueurs, de basses qui grognent comme des fauves, de voix qui vous caressent l’âme avant de vous l’arracher, et d’histoires qui prouvent que la musique, quand elle est vraie, ne vieillit jamais.

Alors, montez le son, vérifiez que vos voisins ne sont pas trop coincés, et préparez-vous : le voyage commence maintenant.

Beggar & Co Top Radio Funk 36


🏆 N°5 : « Get Up (I Feel Like Being a) Sex Machine » – James Brown (1970)

Pourquoi ça déchire encore en 2025 ? Parce que le Parrain du Funk a inventé le groove moderne avec ce morceau.

Ce n’est pas une chanson, c’est un manifeste.

Un ordre.

Une incantation.

Quand la basse de entre en scène, c’est comme si le sol se dérobait sous vos pieds pour vous propulser sur une piste de danse interdite.

Les cuivres hurlent, la batterie frappe comme un marteau-pilon, et James Brown ?

Il commande. « Get up ! Stay on the scene ! » – ce n’est pas une invitation, c’est un ultimatum.

L’anecdote qui tue : Saviez-vous que ce titre est né d’une improvisation en studio ?

Brown avait demandé à son groupe de jouer « le son le plus sale, le plus brut possible ».

Résultat : un morceau si électrique qu’il a failli faire griller les amplis.

Et ce cri « Good God! » à la fin ?

Totalement spontané.

Le roi venait de se brûler les doigts sur son micro… mais a décidé de garder le take.

Parce que le funk, c’est aussi ça : l’imperfection qui devient magie.

Son héritage : Samplé plus de 500 fois (de N.W.A à Prince en passant par Daft Punk), ce titre est l’ADN du hip-hop, de la house, et de tout ce qui bouge aujourd’hui. Sans lui, pas de « Give It Away » des Red Hot Chili Peppers, pas de « Uptown Funk » de Bruno Mars. Tout part de là.


🥈 N°4 : « Superstition » – Stevie Wonder (1972)

Pourquoi c’est un monument ? Parce que Stevie Wonder a inventé le futur avec ce morceau.

Ce riff de clavinet ?

Une arme de destruction massive.

Cette batterie ?

Une horloge suisse du groove.

Et cette voix, à la fois douce et implacable, qui vous murmure des vérités universelles : « When you believe in things that you don’t understand, then you suffer… »Boum. Le funk devient philosophie.

L’anecdote qui tue : Stevie a écrit ce titre en 10 minutes, dans le couloir d’un studio, alors qu’il attendait son tour pour enregistrer.

Il jouait avec un (un monstre de machine qui remplissait une pièce entière) et a pondu le riff en s’amusant.

Dix minutes.

Dix minutes pour créer l’un des plus grands hymnes de l’histoire.

Son influence : Le premier son que vous entendez dans « Superstition » (ce clac de batterie) a été volé par des centaines d’artistes, de « Another One Bites the Dust » à « Billie Jean ».

Et ce solo d’harmonica ?

Pur génie.

Stevie, aveugle depuis l’enfance, voyait la musique comme personne.

Et nous, on en profite encore aujourd’hui.


🥉 N°3 : « Flash Light » – Parliament (1977)

Pourquoi c’est intergalactique ?

Parce que George Clinton et son P-Funk All Stars ne faisaient pas de la musique : ils construisaient des vaisseaux spatiaux sonores.

« Flash Light » est un voyage en , où les synthés sirupent comme des aliens, où la basse de Bootsy Collins ondule comme un serpent électrique, et où le chorus vous hypnotise : « Flash light ! Ohhh, flash light ! »

C’est du funk-science-fiction, une bande-son pour un film qui n’existe pas… mais qu’on aimerait tous voir.

L’anecdote qui tue : Le son « blip-bloop » iconique du synthé ?

C’est un accident.

Un technicien a branché un Moog mal réglé, et Clinton a hurlé : « Gardez ça, c’est parfait ! » Résultat : un son si unique qu’il a défini toute la musique électronique des 40 années suivantes.

Sans « Flash Light », pas de Daft Punk, pas de Flying Lotus. Merci, le hasard.

Pourquoi c’est intemporel ? Écoutez les beats de Kendrick Lamar ou les prod’ de Thundercat : ils doivent tout à ce morceau. Le P-Funk, c’était du funk en 3D, et « Flash Light » en est la preuve ultime.


⚡ N°2 : « Cissy Strut » – The Meters (1969)

Pourquoi c’est la base de tout ? Parce que New Orleans groove comme personne, et The Meters en sont les architectes.

Ce morceau, c’est l’essence du funk instrumental : une basse qui slalome, une guitare qui grésille, un orgue qui ondule comme le Mississippi. Pas de paroles, juste du pur feeling.

Si vous ne bougez pas en l’entendant, vérifiez votre pouls.

L’anecdote qui tue : The Meters étaient les de tous les grands. Ils ont joué sur des tubes de Lee Dorsey, Dr. John, et même Paul McCartney. « Cissy Strut » est né pendant une pause, quand le groupe improvisait pour se détendre. Une jam devenue légende.

Son héritage : Ce morceau est . Questlove (The Roots) dit qu’il l’a écouté 10 000 fois pour comprendre le groove. Et le riff de guitare ? Repris par les Red Hot Chili Peppers, Beastie Boys, et même LED Zeppelin (oui, même les dieux du rock s’inclinent devant le funk).


💥 N°1 Top Radio Funk : « Give Up the Funk (Tear the Roof Off the Sucker) » – Parliament (1975)

Pourquoi c’est le ROI du funk ? Parce que ce morceau n’a pas de début, pas de fin : c’est un tsunami groove qui vous emporte et ne vous lâche plus. Quand Bootsy Collins lance « We want the funk ! », ce n’est pas une demande, c’est un ordre divin.

Les cuivres explosent, la basse grogne, et le chorus est si contagieux qu’il devrait être interdit par l’OMS(trop dangereux pour la santé mentale).

L’anecdote qui tue : Le titre original était « Tear the Roof Off the Mothasucka », mais la censure a forcé le groupe à adoucir.

Peine perdue : le morceau reste le plus subversif, le plus électrique de l’histoire du funk.

Et ce solo de synthé ?

Du jamais entendu.

George Clinton voulait un son « comme un vaisseau mère qui atterrit ». Mission accomplie.

Pourquoi c’est toujours le boss ?

Ce titre a inventé le funk moderne.

Sans lui, pas de OutKast, pas de Janelle Monáe.

Quand vous l’entendez, vous comprenez pourquoi le funk est la musique de la rébellion joyeuse.

C’est l’hymne ultime.


L’Appel de la Duchesse

Alors, mes beautés, mes fous, mes enfants du groove… Vous êtes toujours là ? Vous avez senti cette électricité sous vos pieds ?

Cette envie irrépressible de danser, crier, vivre ?

Ces cinq titres, c’est bien plus que de la musique.

C’est l’histoire d’une révolution, d’une culture qui a refusé de mourir, qui a muté, voyagé, inspiré.

Et le plus beau ?

Cette révolution continue.

Sur , on ne fait pas que jouer ces morceaux : on les célèbre, on les dissèque, on les fait vivre.

Alors rejoignez-moi :

  • Écoutez ces pépites en haute qualité (parce que le funk, ça se savoure en 320 kbps minimum).
  • Partagez vos coups de cœur, vos souvenirs, vos playlists secrètes.
  • Venez en parler sur nos réseaux, dans nos lives, dans nos émissions. Parce que le funk, ça se vit ensemble.

Et surtout… ne laissez jamais personne vous dire que le funk est mort. Tant qu’il y aura des basses qui grognent, des cuivres qui hurlent et des âmes en feu, le funk sera vivant.

Alors, dites-moi : quel est ? Celui que vous mettez à fond quand personne ne regarde ? Je veux tout savoir.

La Duchesse vous embrasse, et surtout… STAY FUNKY.


discofunknew jack swing

Rate it