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ToggleL’essentiel à retenir : le mythe « Wacko Jacko » résulte d’une construction médiatique délirante ayant souvent éclipsé l’artiste. Du faux caisson à oxygène de 1986 aux théories du complot, la frontière entre réalité et fiction reste floue. C’est dingue de voir comment ces rumeurs continuent de déformer la vérité sur l’homme derrière le gant pailleté !
Franchement, qui ne s’est jamais senti totalement paumé face aux innombrables michael jackson rumeurs, ne sachant plus distinguer le vrai du grand n’importe quoi ?
J’ai décidé de trancher une bonne fois pour toutes dans ce chaos médiatique en décortiquant les légendes urbaines les plus folles, du fameux caisson à oxygène aux ossements d’Elephant Man.
Accrochez-vous bien, car je vais vous révéler les secrets inavoués derrière ces mythes tenaces et les théories du complot, et je vous garantis que la réalité est encore plus surprenante que tout ce que vous avez pu imaginer.
Michael Jackson, décédé en 2009, reste l’une des figures les plus controversées et débattues de la musique populaire.
Depuis son décès, et même bien avant, une multitude de rumeurs, d’accusations et de théories du complot ont circulé autour de lui.
Il est important de distinguer les faits juridiquement établis des spéculations et des rumeurs non vérifiées, tout en reconnaissant que certaines questions restent légitimes et matière à débat public.
On va pas se mentir, la presse a été impitoyable avec le King of Pop.
Entre génie musical et bête de foire, la ligne était fine.
Vous pensez tout savoir ?
Attendez de voir comment le mythe « Wacko Jacko » a été monté de toutes pièces, alors montez le son sur 🎧 https://radiofunk.radio.
En 1986, The Sun lâche une bombe médiatique incroyable. Michael dormirait dans un caisson à oxygène pour stopper son vieillissement.
L’objectif affiché était de vivre jusqu’à 150 ans.
La réalité est bien moins sensationnelle, croyez-moi.
C’était un don pour un centre médical après sa terrible brûlure sur la pub Pepsi.
Son manager, Franck Dileo, a sûrement orchestré la fuite pour créer du buzz.
Une manipulation classique.
Cette histoire marque le début officiel du surnom « Wacko Jacko ».
C’est là que l’image d’excentrique s’est figée pour toujours.
En 1987, une nouvelle folie envahit les tabloïds mondiaux.
Jackson aurait tenté d’acheter les ossements de Joseph Merrick, dit « Elephant Man ».
Il voulait les ajouter à sa collection personnelle.
Tout ça a été formellement démenti par la suite.
L’artiste s’identifiait simplement à la solitude tragique de Merrick.
Il se sentait lui-même traité comme une bête de foire.
Michael a répondu avec brio dans son clip Leave Me Alone.
C’est une charge visuelle violente contre cette presse à scandale.
On s’y perd vite entre légende urbaine et vérité historique.
Un tableau s’impose pour démêler le vrai du faux.
Ces histoires ont totalement façonné votre vision de l’artiste.
| Rumeur | Origine (Année / Média) | La réalité des faits |
|---|---|---|
| Caisson à oxygène pour l’immortalité | The Sun (1986) | Photo prise lors d’un don à un hôpital après un accident. Rumeur potentiellement lancée par son manager. |
| Achat des os d’Elephant Man | Presse à scandale (1987) | Démenti. Simple fascination de l’artiste pour le personnage, auquel il s’identifiait. |
| Port d’une prothèse nasale | Tabloïds (années 90/2000) | Spéculation non prouvée liée à ses multiples rhinoplasties. Jackson a admis deux opérations. |
| Conversion à l’Islam | The Sun (2008) | Rumeur encouragée par son frère Jermaine (converti). Jackson a été élevé Témoin de Jéhovah et n’a jamais confirmé sa conversion. |
Ce tableau révèle un schéma de manipulation médiatique évident.
La réalité est systématiquement déformée pour vendre du papier à tout prix.
Après les rumeurs incessantes sur son mode de vie excentrique, c’est son corps qui est devenu la cible principale des tabloïds, chaque changement alimentant de nouvelles spéculations parfois délirantes.
Parlons franchement des opérations de chirurgie esthétique qui ont tant fait jaser.
Michael Jackson n’a admis publiquement que deux rhinoplasties et la création d’une fossette au menton.
C’est tout.
Pourtant, les rumeurs les plus folles parlent de dizaines d’interventions chirurgicales.
Sa transformation physique radicale a nourri l’idée triste d’un homme mal dans sa peau.
On a raconté qu’il cherchait à effacer ses origines ou à gommer les traits de son père.
Cette obsession médiatique pour son apparence a malheureusement éclipsé une partie de sa biographie artistique exceptionnelle.
On en oublie parfois le génie musical derrière le masque.
Attaquons-nous à la rumeur la plus tenace concernant son visage : celle de la prothèse nasale.
L’idée reçue était que son vrai nez aurait été totalement détruit par les opérations successives.
Mais attention, cette théorie scabreuse n’a jamais été prouvée par des faits concrets.
Elle repose uniquement sur des photos floues et des témoignages invérifiables de soi-disant « proches » anonymes.
Au fond, cette rumeur illustre parfaitement la cruauté médiatique dont il a été victime.
Son corps devenait un simple objet de spéculation publique.
Le coup le plus dur reste sans doute l’accusation de blanchiment de la peau et de reniement de son identité noire.
C’est l’une des critiques les plus virulentes et injustes qu’il ait subies durant sa carrière.
Il faut rétablir les faits : Michael Jackson souffrait de vitiligo, une maladie auto-immune qui cause une dépigmentation sévère de la peau.
Le diagnostic a été confirmé noir sur blanc lors de son autopsie. Il utilisait simplement du maquillage pour unifier son teint.
Il a d’ailleurs toujours exprimé sa fierté d’être un homme noir, notamment à travers les paroles engagées de ses chansons.
Au-delà de l’apparence, c’est l’intimité de l’homme, sa famille et ses convictions, qui a nourri les spéculations les plus folles et les plus persistantes.
Vous pensiez tout savoir ?
Pas sûr.
Les doutes tenaces sur la paternité biologique, Prince, Paris et Blanket (Bigi), continuent d’alimenter les conversations bien après sa disparition.
Regardez les faits.
La peau claire de ses deux aînés, nés de son union avec Debbie Rowe, a immédiatement déclenché une avalanche de rumeurs concernant des dons de sperme supposés.
Mais écoutez ça.
Jackson a toujours affirmé haut et fort être leur père biologique, balayant les critiques.
Ses enfants le considèrent comme leur seul et unique père, rendant le débat biologique totalement secondaire.
En 2008, The Sun lâche une bombe médiatique inattendue.
Le journal affirmait sans détour qu’il avait acté sa conversion à l’islam, adoptant même le prénom symbolique de « Mikaeel ».
Pourquoi cette histoire a pris ?
C’est simple.
Cette rumeur a été largement alimentée par son frère, Jermaine Jackson, lui-même converti et très proche de Michael à cette période, sans oublier son long séjour mystérieux à Bahreïn.
Pourtant, il faut rester factuel.
Michael Jackson n’a jamais confirmé publiquement cette conversion, laissant le doute planer jusqu’à la fin.
On oublie souvent d’où il vient vraiment.
Michael Jackson a été élevé comme Témoin de Jéhovah, et c’était une part immense de sa vie qui a dicté sa conduite pendant des années.
La rupture a été brutale en 1987.
Il a quitté l’organisation, tiraillé par le conflit insoluble entre sa foi stricte et le contenu jugé occulte de son clip légendaire Thriller.
Cette base spirituelle forte explique sa quête de sens tout au long de sa vie, mais les rumeurs ont souvent simplifié ou déformé ses véritables croyances.
Mais toutes ces rumeurs paraissent anecdotiques face à la tempête qui s’est abattue sur lui en 1993, une accusation qui allait changer sa vie et son image à jamais.
Tout bascule brutalement en 1993 avec une bombe médiatique.
Jordan Chandler, un adolescent de 13 ans, lance une première accusation d’abus sexuel sur mineur contre la star.
Son père, le dentiste Evan Chandler, orchestre l’offensive en coulisses.
Le scandale éclate alors que le « Dangerous Tour » bat son plein à travers le monde.
C’est le moment précis où le mythe se fissure, marquant un tournant irréversible.
Comme on le voit dans la biographie du Roi de la Pop, c’est le début d’une véritable descente aux enfers médiatique.
L’image de l’idole intouchable est ternie pour toujours.
Michael prend alors une décision radicale pour stopper l’hémorragie.
Il signe un accord financier estimé à plus de 20 millions de dollars avec la famille Chandler.
L’affaire se règle ainsi loin des tribunaux.
Vous voyez le problème avec ce genre de deal ?
Pour l’opinion publique et les tabloïds, payer une telle somme sonnait comme un aveu de culpabilité évident.
Mais pour ses avocats, c’était la seule issue viable pour éviter un procès long et destructeur qui aurait pulvérisé sa carrière, peu importe le verdict.
Il faut être clair sur un point technique mais capital. Jackson n’a jamais reconnu la moindre culpabilité dans le cadre de cet accord civil.
Michael ne s’est pas contenté de subir, il a riposté avec son meilleur atout : son art.
L’album HIStory de 1995 est une contre-attaque brutale et directe.
Il règle ses comptes avec une presse qui l’a déshumanisé sans pitié.
Écoutez la rage dans « Scream », ce duo explosif avec sa sœur Janet.
Ou prenez « Tabloid Junkie », un véritable cri de frustration contre le système médiatique.
Il hurle sa vérité face aux mensonges.
« Just because you read it in a magazine or see it on the TV screen don’t make it factual. »
Sa musique a changé après 1993, ça résonne très fort avec aujourd’hui.
C’est devenu sombre, paranoïaque et viscéralement personnel. On sent le traumatisme vibrer dans chaque note.
La première accusation majeure provient de Jordan Chandler, un adolescent de 13 ans qui porte plainte contre Michael Jackson en septembre 1993.
Après des mois d’investigation, Jackson et la famille Chandler parviennent à un règlement à l’amiable en janvier 1994 pour environ 22 à 25 millions de dollars.
Selon les documents judiciaires, cet accord stipule que Jackson ne reconnaît pas les allégations d’abus sexuels et que les deux parties abandonnent toute action future.
Cet arrangement inclut une clause de confidentialité réciproque.
L’enquête criminelle se clôt pour manque de preuves concrètes et de témoignages suffisants, le jeune Jordan Chandler ne témoignant pas aux autorités.
En 2003, Michael Jackson est accusé à nouveau par Gavin Arvizo, un adolescent de 13 ans.
Le procès se déroule entre janvier et juin 2005 à Santa Maria, en Californie.
Après plus de quatre mois de débats judiciaires, le jury, composé de douze membres, le déclare unanimement non coupable de tous les dix chefs d’inculpation le 13 juin 2005.
Ces accusations incluaient des attouchements sexuels sur mineur, une tentative de séquestration et le fait d’avoir servi de l’alcool à un mineur.
La défense de Jackson met en avant l’argumentation que la famille Arvizo était motivée par l’appât du gain, tandis que l’accusation tente de présenter Jackson comme un prédateur pédophile utilisant sa célébrité pour attirer des enfants.
Catégorisation des principales rumeurs et accusations concernant Michael Jackson
En 2013, Wade Robson et James Safechuck portent plainte contre Michael Jackson (décédé en 2009) et ses sociétés de production pour abus sexuels allégués.
Or, ces deux hommes avaient précédemment témoigné en faveur de Michael Jackson lors des procès de 1993 et 2005, affirmant qu’il ne les avait jamais touchés.
Robson avait même déclaré sous serment pendant 20 ans qu’aucun acte déplacé ne s’était produit.
Ces plaintes initiales sont rejetées par la justice en 2017 pour plusieurs raisons, notamment les délais de prescription écoulés.
Cependant, en août 2023, une cour d’appel californienne réouvre ces affaires, annulant les décisions antérieures et autorisant Robson et Safechuck à poursuivre leurs réclamations contre les sociétés de Michael Jackson.
Le documentaire de quatre heures « Leaving Neverland », réalisé par Dan Reed, est diffusé en 2019 et relance massivement les accusations d’abus sexuels.
Wade Robson et James Safechuck décrivent en détail des allégations d’abus sexuels qu’ils affirment avoir subis lorsqu’ils étaient enfants, prétendant que Jackson aurait initié les actes sexuels à partir de 7-10 ans.
Le documentaire est diffusé sur HBO et sur M6 en France le 21 mars 2019.
Il est crucial de noter que le documentaire ne remplace pas un jugement judiciaire et ne constitue pas une preuve légale.
Les avocats des sociétés de Michael Jackson ont par ailleurs souligné que les allégations de Safechuck diffèrent significativement entre sa plainte officielle et ses déclarations dans le documentaire.
Ils ont aussi exprimé leur intention de procéder à des examens mentaux des plaignants et de rechercher les séquences non diffusées du documentaire pour démontrer des incohérences.
L’un des aspects les plus visibles et controversés de Michael Jackson concerne son changement de couleur de peau au fil des années.
Jackson lui-même a déclaré souffrir du vitiligo, une maladie cutanée qui provoque une perte de pigmentation.
En 1993, lors d’une célèbre interview avec Oprah Winfrey, il affirme ne jamais avoir pratiqué de blanchiment de peau et attribue son apparence au vitiligo.[14][15][16]
Cependant, des éléments ultérieurs suggèrent un recours à des traitements pour éclaircir la peau.
En 2016, un tube de crème Eldoplaque-Forte (un produit de dépigmentation) attribué à Jackson est mis en vente, ce qui a été reconnu par un ancien employé. Les traitements utilisés pour le vitiligo (Benoquin, Solaquin) et un traitement pour le lupus discoïde auraient également contribué à l’éclaircissement de sa peau.
Importante conclusion : L’autopsie de Jackson confirme qu’il avait effectivement le vitiligo.
Elle révèle une réduction (mais pas complète) des mélanocytes, notamment dans cinq zones du corps affectées par une dépigmentation focale.
Ainsi, bien que le vitiligo soit confirmé médicalement, Jackson aurait également utilisé des traitements cosmétiques pour uniformiser son apparence.
Jackson a également subi plusieurs chirurgies esthétiques au cours de sa carrière, particulièrement au niveau du nez.
Selon les biographes, le chanteur aurait commencé à réduire son nez au moment où les taches de vitiligo apparaissaient, vers le milieu des années 1980. Jackson lui-même a expliqué que les critiques de son père concernant son apparence l’avaient motivé à modifier son nez.
Ces transformations physiques ont provoqué des critiques publiques et ont alimenté le débat sur son identité et ses motivations.
Cependant, il est important de noter que Jackson avait clairement le droit de prendre des décisions concernant son propre corps et son apparence.
En septembre 1986, le journal britannique The Sun publie une photo montrant Jackson dans un caisson à oxygène, avec la légende affirmant qu’il l’aurait acheté 150 000 dollars pour vivre jusqu’à 150 ans.
Bien que cette rumeur soit devenue légendaire dans la culture populaire, elle reste non prouvée et largement considérée comme une exagération ou une canular journalistique.
Jackson fera référence à cette rumeur dans le clip de sa chanson « Leave Me Alone » (1989), montrant clairement qu’il en était conscient.
Une autre rumeur étrange circulait selon laquelle Jackson aurait tenté d’acheter les ossements du défunt Joseph Merrick, connu sous le nom d' »Elephant Man ».
Cette rumeur a été réfutée. Jackson, qui s’identifiait au personnage de Peter Pan et à celui d’Elephant Man, fait directement référence à cette rumeur dans le clip de « Leave Me Alone », ce qui montre qu’il la connaissait et l’adressait publiquement.[17]
Depuis sa mort le 25 juin 2009, une partie des fans, appelés « believers » (croyants), croient que Jackson a simulé sa propre mort pour se retirer discrètement du spectacle.
Ces théories du complot sont basées sur plusieurs éléments : le décès soudain et inattendu, les circonstances entourant la mort, et la découverte ultérieure que le médecin personnel de Jackson avait administré du propofol, un anesthésiant.
Officiellement, Michael Jackson est décédé d’une intoxication aiguë au propofol, administrée par son médecin personnel Conrad Murray. Murray a été condamné à quatre ans de prison pour homicide involontaire en 2011.
Cependant, les théories alternatives persistent chez certains fans qui soupçonnent soit un suicide, soit un meurtre prémédité.
Certains fans et même des membres de la famille, comme Paris Jackson (sa fille), ont exprimé en 2017 leur conviction que la mort de Jackson pourrait être un homicide volontaire plutôt qu’un accident ou un suicide.
En 2020, le rappeur Kanye West reprend cette théorie en affirmant que le producteur Tommy Mottola serait impliqué.
Ces théories restent sans preuve juridique concluante et reposent sur des spéculations.
Une décennie plus tard, alors que beaucoup pensaient l’affaire derrière lui, l’histoire se répète, mais cette fois, elle se jouera devant un tribunal et les caméras du monde entier.
On se souvient tous du cirque médiatique du procès de 2005. Michael Jackson se retrouve accusé d’attouchements sur un autre garçon, Gavin Arvizo, âgé de 13 ans. Les charges sont lourdes : on parle de fourniture d’alcool et même de séquestration au ranch.
Pourtant, le jury a tranché net : acquittement sur tous les chefs d’accusation.
La défense a été redoutable, peignant la famille Arvizo comme des opportunistes avides d’argent, prêts à tout pour un chèque.
Mais vous savez comment ça marche, le mal était fait. Pour une partie du public, sortir libre du tribunal ne veut pas dire être innocent. Son image en a pris un coup fatal.
Fast-forward en 2019 avec le choc « Leaving Neverland ».
Ce documentaire donne la parole à Wade Robson et James Safechuck, deux hommes qui décrivent des abus détaillés subis durant leur enfance.
Le détail qui tue ?
Wade Robson avait juré sous serment en 2005 que Michael ne l’avait jamais touché. revirement complet, des années plus tard, reste le point le plus troublant et controversé.
L’impact a été nucléaire. Même dix ans après sa mort, le Roi de la Pop divise encore l’opinion, forçant les fans de funk et soul à choisir leur camp.
L’histoire ne s’arrête pas là. Robson et Safechuck ont tenté de poursuivre les sociétés de Jackson en justice, estimant qu’elles auraient dû les protéger à l’époque.
La justice a joué au yo-yo. Leurs plaintes ont été rejetées à plusieurs reprises, non pas sur les faits, mais pour des questions de prescription. On n’a donc jamais vraiment jugé le fond de leurs accusations post-mortem.
Bref, cette saga judiciaire sans fin laisse l’héritage de l’artiste dans une zone grise permanente et indélébile.
Vous pensez que l’histoire est finie ? Pas pour les « believers » qui jurent que Michael Jackson ne serait pas mort.
Ces fans acharnés sont persuadés qu’il a orchestré une mise en scène magistrale.
C’est le même schéma qu’avec Elvis Presley, vous ne trouvez pas ?
L’objectif serait de fuir une pression médiatique devenue invivable.
D’autres espèrent encore un retour spectaculaire sur le devant de la scène.
L’autre hypothèse qui circule est bien plus sombre : celle de l’homicide volontaire, un assassinat pur et simple.
Le plus troublant, c’est que sa propre famille soutient cette idée depuis le début.
« C’est une évidence. Toutes les flèches pointent dans cette direction… Tout le monde dans la famille le sait. C’était un coup monté. »
Les arguments font froid dans le dos quand on y regarde de près.
Jackson semblait en pleine forme la veille de sa mort.
Il aurait confié à ses proches avoir peur pour sa vie, et les vidéos de surveillance de son domicile auraient mystérieusement disparu.
Même Kanye West a remis une pièce dans la machine en 2020. Il a accusé le producteur Tommy Mottola, prouvant la persistance de cette croyance.
Pourtant, le rapport du légiste est formel sur la cause officielle : une intoxication aiguë au propofol.
C’est un anesthésiant chirurgical ultra-puissant qu’il utilisait dangereusement comme somnifère.
La responsabilité incombe directement à son médecin personnel, le Dr. Conrad Murray.
La justice l’a reconnu coupable d’homicide involontaire pour lui avoir administré la dose fatale et il a purgé une peine de prison.
Pour la justice, le cas est clos. Il s’agit d’une négligence médicale tragique, pas d’un complot.
Une rumeur de 2005 affirme que Jackson, ancien témoin de Jéhovah, se serait converti à l’islam et aurait changé son prénom en « Mikaeel ».
Cette rumeur a été réfutée et n’a pas de fondement documenté vérifié par des sources fiables.
Après sa mort, certains fans croient avoir aperçu Jackson à plusieurs reprises.
Le plus notable est la présence d’un homme chapauté, surnommé « Hatman« , assis près de la famille Jackson lors de la cérémonie hommage au Staples Center de Los Angeles en juillet 2009.
Ces observations restent hautement spéculatives et non vérifiées.
Un point important à noter : les plaintes de Robson et Safechuck ont d’abord été rejetées pour prescription, c’est-à-dire parce que les délais légaux pour engager des poursuites avaient expiré.
La réouverture de 2023 de ces affaires, selon la cour d’appel, est basée sur une réinterprétation de la loi californienne concernant les délais de prescription dans les affaires d’abus sexuels.
Cela signifie que, techniquement, Jackson n’a jamais été jugé coupable de ces accusations dans une cour de justice, ni même condamné par un jury après un procès complet, concernant les allégations de Robson et Safechuck.
Les rumeurs concernant Michael Jackson se divisent en trois catégories distinctes : les accusations juridiquement documentées (Chandler, Arvizo, Robson et Safechuck), les rumeurs concernant son apparence physique (vitiligo et chirurgies esthétiques), et les théories du complot (mort simulée, meurtre, conversion religieuse).
Tandis que certaines accusations ont mené à des procès, où il a été acquitté ou où les cas ont été réglés hors cour, d’autres rumeurs restent des spéculations sans fondement prouvé.
Le documentaire « Leaving Neverland » de 2019 a ravivé le débat public, mais il est essentiel de reconnaître que la preuve documentaire d’accusations n’équivaut pas à une condamnation judiciaire.
La question de la culpabilité de Michael Jackson dans les allégations d’abus sexuels reste profondément divisive et matière à débat légitime, avec des positions antagonistes soutenues par des preuves interprétées différemment selon les perspectives.
Vous avez sûrement déjà vu cette ombre étrange filmée par les caméras de CNN lors d’une visite à Neverland. C’est la célèbre histoire du « fantôme de Neverland », une silhouette floue qui a intrigué la planète entière juste après sa mort. Je trouve ça dingue.
Les fans y ont vu un signe indiscutable de sa présence spectrale dans les couloirs. Pour les sceptiques, calmez-vous, c’est juste un jeu de lumière ou l’ombre d’un membre de l’équipe de tournage qui passe par là. Chacun voit ce qu’il veut.
Cette anecdote illustre parfaitement ce besoin viscéral des fans de garder une connexion avec leur idole, même si cela doit passer par le paranormal.
Les fantasmes récurrents autour de chansons inédites ne s’arrêtent jamais vraiment. On parle souvent de titres incroyables découverts par hasard dans un garde-meuble à Los Angeles ou de collaborations mystérieuses qui referaient surface des années plus tard.
Regardez la rumeur sur un titre enregistré avec le groupe BTS en Irlande. L’info a circulé partout avant d’être officiellement démentie par les artistes eux-mêmes, ce qui prouve bien une chose. Ces bruits montrent que le public attend toujours du nouveau.
C’est ainsi que ces rumeurs maintiennent vivante l’aura unique d’un des plus grands artistes disco-funk de tous les temps.
Il faut se rendre à l’évidence : les michael jackson rumeurs font désormais partie intégrante de sa légende. Elles sont aujourd’hui aussi célèbres que sa musique révolutionnaire, ses clips ou son inoubliable moonwalk exécuté sur scène.
Elles alimentent les discussions passionnées, les documentaires chocs et même le futur biopic sur la vie du Roi de la Pop. Cela prouve que le personnage est aussi complexe et mystérieux que l’artiste était talentueux.
Essayer de démêler le vrai du faux est un exercice sans fin, mais c’est indispensable pour apprécier l’homme caché derrière le mythe.
Franchement, avec toutes ces rumeurs dingues, de la fausse mort aux histoires de fantômes, on ne sait plus où donner de la tête !
Mais c’est ça qui rend Michael Jackson immortel, non ?
Moi, je pense que le mystère fait partie du show.
Le King of Pop nous fascinera toujours, c’est une certitude.
Franchement, c’est l’une des rumeurs les plus dingues qui a lancé le mythe « Wacko Jacko » !
En 1986, le journal The Sun a balancé que Michael dormait dans un caisson hyperbare pour vivre jusqu’à 150 ans.
Je t’explique : la photo était bien réelle, mais elle a été prise quand il a fait un don à un hôpital après ses graves brûlures pour la pub Pepsi.
Il ne dormait pas dedans ! C’est sûrement son manager de l’époque, Franck Dileo, qui a laissé fuiter ça pour faire le buzz, et ça a marché au-delà de toute espérance.
C’est le sujet qui fait jaser dans les chaumières depuis des décennies. Officiellement, Michael est le père biologique de ses trois enfants : Prince et Paris (avec Debbie Rowe) et Bigi (né d’une mère porteuse inconnue).
Mais à cause de leur peau claire, les mauvaises langues ont toujours crié au don de sperme, pointant souvent du doigt son dermatologue, Arnold Klein.
Michael a toujours nié en bloc, et pour ses enfants, il est leur seul et unique père, peu importe ce que racontent les tabloïds !
Alors là, il faut absolument rétablir la vérité parce que c’est l’accusation la plus injuste qu’il ait subie.
Non, il ne voulait pas « devenir blanc » !
Michael souffrait de vitiligo, une maladie auto-immune qui détruit les pigments de la peau.
C’est confirmé noir sur blanc dans son rapport d’autopsie.
Il utilisait du maquillage et des crèmes pour unifier son teint qui partait en lambeaux, pas pour renier ses origines.
C’était médical, pas esthétique !
C’est super intéressant parce qu’on oublie souvent ses racines.
Oui, il a été élevé comme Témoin de Jéhovah et c’était capital pour lui jusqu’à ce qu’il quitte l’organisation en 1987, notamment à cause des critiques sur son clip Thriller.
Par contre, pour l’Islam, c’est plus flou.
En 2008, une rumeur disait qu’il était devenu « Mikaeel », encouragée par son frère Jermaine qui s’était converti.
Mais honnêtement, Michael n’a jamais confirmé ça publiquement, ça reste un grand mystère de sa fin de vie.
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