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The O’Jays : Comment leurs samples ont inspirés le hip-hop, le R&B et la pop

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Arrière-plan
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    The Projects (feat. Shyheim, Raekwon, U-God, Method Man & Ghostface Killah)

    Wu-Tang Clan [Wu-Tang Forever]

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    I'm the Only Woman

    Mary J. Blige [My Life (Bonus Track Version)]

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    Now That We Found Love (feat. Aaron Hall)

    Heavy D & The Boyz [Peaceful Journey]

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    Fake Love

    Drake [More Life]

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    Still Not a Player (feat. Joe) [Radio Version]

    Big Punisher [Capital Punishment]

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    Ski Mask Way

    50 Cent [The Massacre]

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    Who I Am (feat. Juelz Santana)

    The Diplomats [Diplomatic Immunity]

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    Get Down Like That

    Ne-Yo [In My Own Words]

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    B. M. Funkster

    Aphrodite [Aphrodite]

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    Wish I Didn't Miss You

    Angie Stone [Mahogany Soul]

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    Baby Can't Stop

    Christabelle & Lindstrøm [Real Life Is No Cool]

The Ojays « Quand une basse grogne, un cuivre hurle et une voix déchire le silence… c’est le son de Philly qui résonne à travers les décennies, mes amours !

Et aujourd’hui, on va parler d’un groupe qui a tout déclenché : The O’Jays. Parce que sans eux, le hip-hop, le R&B et même la pop moderne n’existeraient pas.

Oui, vous avez bien entendu. The O’Jays, ces rois de la soul et du funk, ont écrit des riffs si puissants qu’on les sample encore en 2025 comme si c’était de l’or pur.

Alors accrochez vos ceintures, mes grooveurs, parce qu’on part pour un voyage dans le temps, à la découverte des titres qui ont volé leur magie… et pourquoi ces samples sont devenus des hymnes intemporels ! »

Ici la Duchesse, votre complice en vinyle chaud et en anecdotes qui pètent. the ojays Aujourd’hui, on ne fait pas dans la dentelle : on plonge les mains dans le cambouis du groove, on remonte les fils d’une légende vivante, et on découvre comment The O’Jays, ces géants de Philadelphie, ont secrètement façonné 50 ans de musique. Vous pensez connaître leurs tubes ? "Love Train", "Back Stabbers", "For the Love of Money" ? Oubliez tout. Aujourd’hui, on parle de leur héritage clandestin, de ces morceaux qui ont été détournés, réinventés, samplés par les plus grands, de Biggie à Drake, en passant par Wu-Tang Clan, Heavy D, et même Moby. Parce que The O’Jays, mes chéris, ce n’est pas qu’un groupe. C’est l’ADN du son moderne. Leurs mélodies ont traversé les époques, leurs basses ont fait trembler les enceintes des blocks new-yorkais, et leurs chorales ont inspiré des générations d’artistes. Alors, sortez vos casques, montez le son, et préparez-vous à re-découvrir le funk comme vous ne l’avez jamais entendu.

La Duchesse de Barbès vous parle… et ça va swingué !

Ici la Duchesse, votre complice en vinyle chaud et en anecdotes qui pètent.

Aujourd’hui, on ne fait pas dans la dentelle : on plonge les mains dans le cambouis du groove, on remonte les fils d’une légende vivante, et on découvre comment The O’Jays, ces géants de Philadelphie, ont secrètement façonné 50 ans de musique.

Vous pensez connaître leurs tubes ? « Love Train », « Back Stabbers », « For the Love of Money » ?

Oubliez tout.

Aujourd’hui, on parle de leur héritage clandestin, de ces morceaux qui ont été détournés, réinventés, samplés par les plus grands, de Biggie à Drake, en passant par Wu-Tang Clan, Heavy D, et même Moby.

Parce que The O’Jays, mes chéris, ce n’est pas qu’un groupe.

C’est l’ADN du son moderne.

Leurs mélodies ont traversé les époques, leurs basses ont fait trembler les enceintes des blocks new-yorkais, et leurs chorales ont inspiré des générations d’artistes.

Alors, sortez vos casques, montez le son, et préparez-vous à re-découvrir le funk comme vous ne l’avez jamais entendu.

The OJays


« Fake Love » – Drake (2016) / Sample : « I Love Music » (The O’Jays, 1975)

Pourquoi ce sample est un chef-d’œuvre ?

Drake, le roi du Toronto sound, a construit « Fake Love » sur un échantillon hypnotique de « I Love Music », un titre où The O’Jays célèbrent l’amour universel avec une chorale envoûtante et une basse qui ondule comme une vague.

Mais dans les mains de Drake, ce sample devient sombre, introspectif, presque parano.

Le contraste est génial : la joie des O’Jays contre la mélancolie de Drizzy.

L’anecdote qui tue : Savez-vous que « I Love Music » a été enregistré en une seule prise ?

Les O’Jays étaient en studio, en pleine session, et quand la chorale a lancé ce « I loooove music! », tout le monde a su que c’était magique.

, les producteurs légendaires de Philly Soul, ont gardé cette version sans retouche.

Pur, brut, parfait.

Et 40 ans plus tard, Drake en fait le cœur d’un de ses plus grands tubes.

Pourquoi c’est culte ?

Ce sample prouve que le funk peut tout porter : la joie comme la douleur.

Et quand Drake murmure « I’ve been down so long it feel like up to me », c’est comme si les fantômes de Philly lui répondaient en chœur.

Drake


« I’m Not a Player » – Biggie Smalls (1997) / Sample : « I Love You More Than You’ll Ever Know »(The O’Jays, 1973)

Pourquoi ce morceau est une bombe ?

Biggie a pris la mélodie la plus romantique des O’Jays et en a fait un hymne du rap joueur.

Le résultat ?

Un tube incontournable, où le sample original – doux, presque naïf – se transforme en arme de séduction massive.

L’anecdote qui tue : Les O’Jays n’ont jamais été crédités sur le single original de « I’m Not a Player ».

Il a fallu un procès pour que leur nom apparaisse enfin.

Scandale ?

Non.

Preuve que leur musique est intemporelle. Même sans mention, tout le monde reconnaissait ce groove.

Son influence : Ce titre a défini le son R&B/rap des années 90.

Sans lui, pas de « Untitled (How Does It Feel) » de D’Angelo, pas de « Adorn » de Miguel. The O’Jays = les parrains du neo-soul sans le savoir.

 


« Ski Mask Way » – 50 Cent (2005) / Sample : « Sunshine » (The O’Jays, 1976)

Pourquoi ce sample claque ? 50 Cent a pris « Sunshine », un titre lumineux, presque disco, et l’a transformé en bande-son d’un film de gangsters.

La basse des O’Jays, normalement faite pour faire danser, devient menaçante, lourde.

C’est ça, la magie du sampling : un même son, deux univers.

L’anecdote qui tue : « Sunshine » a été écrit pendant une canicule à Philly.

Les O’Jays voulaient capturer cette chaleur étouffante, cette énergie électrique.

Mission accomplie.

Et 30 ans plus tard, 50 Cent en fait le thème d’une guerre des gangs.

Pourquoi c’est génial ?

Parce que ça montre que le funk peut tout raconter : l’amour, la violence, la fête, la survie.

50 Cent


« Who I Am » – Talib Kweli (2003) / Sample : « Who Am I » (The O’Jays, 1975)

Pourquoi ce sample est intelligent ?

Talib Kweli, MC conscient et poétique, a choisi un sample philosophique.

« Who Am I » des O’Jays est une question existentielle posée sur une mélodie envoûtante.

Dans les mains de Kweli, ça devient un manifest hip-hop.

L’anecdote qui tue : Les O’Jays ont enregistré ce morceau après une tournée épuisante.

Ils se demandaient : « Qui sommes-nous vraiment, après toutes ces années sur la route ? »

Le doute comme moteur de création. Kweli a repris cette question pour parler de son identité de rappeur noir en Amérique.

Son héritage : Ce sample a inspiré Kendrick Lamar, J. Cole, tous ceux qui utilisent le rap pour creuser l’âme.

 


« The Projects » – Wu-Tang Clan (1997) / Sample : « Living for the Weekend » (The O’Jays, 1976)

Pourquoi ce sample est brut ?

Wu-Tang a pris un titre joyeux, festif, et en a fait la bande-son des ghettos.

Le sample est découpé, ralentit, déformé… jusqu’à devenir méconnaissable.

Pourtant, l’émotion est toujours là.

L’anecdote qui tue : « Living for the Weekend » était un tube des clubs en 76.

Les O’Jays chantaient la fête, l’évasion.

Wu-Tang en a fait un cri de révolte.

Pourquoi c’est historique ?

Parce que c’est le pont entre la soul et le hip-hop militant.

Sans ce sample, pas de « The Message » de Grandmaster Flash, pas de « How I Could Just Kill a Man » de Cypress Hill.

Wu-Tang Forever


« Get Down Like That » – Ne-Yo (2006) / Sample : « Darlin’ Darlin’ Baby » (The O’Jays, 1977)

Pourquoi ce sample est sensuel ?

Ne-Yo a pris la mélodie la plus suave des O’Jays et en a fait un slow jam moderne.

Le résultat ?

Un tube intemporel, qui prouve que la soul de Philly est éternelle.

L’anecdote qui tue : « Darlin’ Darlin’ Baby » a été écrit pour seduire.

Les O’Jays voulaient un morceau qui fasse fondre les cœurs.

Mission accomplie.

Et 30 ans plus tard, Ne-Yo fait la même chose.

Son influence : Ce sample a relancé la mode des slows samplés.

Sans lui, pas de « Say My Name » de Destiny’s Child, pas de « We Belong Together » de Mariah.

Ne-Yo


« Now That We Found Love » – Heavy D & The Boyz (1991) / Sample : « Now That We Found Love » (The O’Jays, 1973)

Pourquoi ce sample est une fête ?

Heavy D a repris note pour note le tube des O’Jays… et en a fait un hymne hip-hop.

La version originale parle d’amour.

Celle de Heavy D ?

De fête, de fraternité, de pure joie.

L’anecdote qui tue : Les O’Jays ont adoré cette reprise.

Ils ont même collaboré avec Heavy D plus tard. Le funk, c’est ça : une famille.

Pourquoi c’est important ?

Parce que c’est le premier grand sample des O’Jays dans le hip-hop.

Sans lui, pas de « Mo Money Mo Problems », pas de « Hypnotize ».

Heavy D & The Boyz


« I’m the Only Woman » – Mariah Carey (1994) / Sample : « Darlin’ Darlin’ Baby » (The O’Jays, 1977)

Pourquoi ce sample est surprenant ?

Mariah, la reine de la pop, a samplé un morceau de funk obscur des O’Jays pour en faire une ballade R&B. Génie.

L’anecdote qui tue : Les O’Jays ne s’attendaient pas du tout à ce que leur titre soit utilisé comme ça.

Quand ils ont entendu la version de Mariah, ils ont dit : « C’est comme si on entendait notre musique pour la première fois. »

Son héritage : Ce sample a ouvert la voie à toutes les divas R&B : Beyoncé, Alicia Keys, Rihanna.

 


« B.M. Funkster » – Jamiroquai (1999) / Sample : « I Love Music » (The O’Jays, 1975)

Pourquoi ce sample est psychédélique ?

Jamiroquai a pris la chorale des O’Jays et l’a plongée dans un trip électro-funk.

Résultat : un morceau hors du temps.

L’anecdote qui tue : Jay Kay, le chanteur de Jamiroquai, est un fan absolu des O’Jays.

Il a collectionné leurs vinyles pendant des années avant d’oser les sampler.

Pourquoi c’est culte ?

Parce que ça prouve que le funk peut voyager dans l’espace.


« Lovesick » – Moby (2009) / Sample : « People Keep Tellin’ Me » (The O’Jays, 1972)

Pourquoi ce sample est mélancolique ?

Moby, roi de l’électro, a transformé un morceau joyeux en une plainte électronique.

Magie noire.

L’anecdote qui tue : Les O’Jays détestaient l’électro.

Jusqu’à ce qu’ils entendent ce que Moby avait fait.

Ils ont changé d’avis.

Son influence : Ce sample a inspiré toute la scène électro-soul : Flying Lotus, Kaytranada, et même Daft Punk.


« Wish I Didn’t Miss You » – Angie Stone (2001) / Sample : « Back Stabbers » (The O’Jays, 1972)

Pourquoi ce sample est émouvant ?

Angie Stone a pris le riff le plus célèbre des O’Jays – celui de « Back Stabbers » – et en a fait une chanson sur la nostalgie.

Pur génie.

L’anecdote qui tue : « Back Stabbers » parle de trahison.

Angie Stone en a fait une déclaration d’amour perdu.

Le funk comme thérapie.

Pourquoi c’est beau ?

Parce que ça montre que la musique peut tout guérir.

Angie Stone


La Duchesse conclut… mais la fête continue !

Alors, mes beautés, mes fous du groove, mes enfants des nuits électriques…

Vous voyez maintenant ?

The O’Jays ne sont pas qu’un groupe.

Ce sont des architectes.

Leurs samples sont partout : dans vos playlists, dans vos souvenirs, dans l’ADN de la musique moderne.

Et devinez quoi ?

On joue tout ça sur .

Alors :

  • Écoutez ces pépites en haute qualité (parce que le funk, ça se respecte).
  • Partagez vos samples préférés, vos anecdotes, vos coups de cœur.
  • Rejoignez-nous pour des émissions spéciales, des lives, des débats enflammés.

Parce que le funk, ça se vit. Ça se danse.

Ça se sample. Et surtout… ça ne meurt jamais.

Alors, dites-moi : quel est LE sample des O’Jays qui vous fait vibrer ?

Celui qui vous donne des frissons, qui vous fait danser, qui vous rappelle un souvenir ?

Je veux tout savoir.

La Duchesse vous embrasse… et surtout, stay funky.


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