Chart 34 | La Crème de la Crème du Funk : Un Tour d’Horizon des Morceaux qui Redéfinissent le Genre

Chart 34

Salut les grooveurs, les shakers, les amateurs de basses qui font vibrer les tripes et les mélomanes en quête de pépites qui claquaient hier et qui déchirent encore aujourd’hui ! 

Ici la Duchesse de Barbès, votre guide spirituelle et sonique à travers les méandres de la funkosphère, toujours en veille pour dénicher les titres qui font swinguer les âmes et les corps. 

Aujourd’hui, on ne parle pas de reliques poussiéreuses planquées dans les bacs des disquaires (même si on les kiffe aussi, hein), mais bien de morceaux ultra-frais, qui prouvent que le funk n’a pas dit son dernier mot. 

Bien au contraire : il mute, il s’hybride, il s’infiltre partout, des clubs underground aux playlists des influenceurs, en passant par les BO de films qui cartonnent. 

Le funk, mes amis, c’est comme un bon vinyle : ça se bonifie avec le temps, mais ça reste toujours aussi hot.

Alors, attachez vos ceintures, montez le son à fond et préparez vos meilleures moves, parce que la Duchesse a sélectionné pour vous cinq bombes funk qui vont vous faire redéfinir votre relation avec le dancefloor. 

Ces titres, c’est la preuve vivante que le genre n’est pas un truc de vieux nostalgiques (même si on assume notre amour pour les 70s, bien sûr). 

Non, le funk en 2025, c’est un monstre vivant, un caméléon qui se réinvente sans cesse, qui flirte avec l’électro, la soul, le hip-hop, et même la pop, tout en gardant cette âme rebelle qui l’a toujours caractérisé.

Prêts pour le voyage ?

C’est parti !

« Dancin’ » de Guy : quand la légende se met à jour

On commence fort avec un morceau qui sent bon la transmission intergénérationnelle : « Dancin’ » de Guy.

 

Oui, ce Guy, le trio mythique qui a marqué l’histoire du new jack swing et du R&B funky dans les 90s.

Avec « Dancin’ », extrait de leur album « Guy III », les gars nous rappellent pourquoi ils sont toujours les rois du groove. 

Imaginez : une basse qui slap comme un uppercut, des nappes de synthé qui brillent comme des paillettes sous une boule à facettes, et un flow qui vous donne envie de vous lever même si vous êtes en pyjama à 3h du mat’. 

Ce titre, c’est un pont entre les époques : il capture l’essence de l’âge d’or du funk tout en y injectant une dose de modernité qui le rend irrésistible en 2025.

Ce qui tue avec « Dancin’ », c’est cette capacité à mélanger l’ancienne et la nouvelle école sans jamais tomber dans la parodie ou le pastiche. 

Les rythmes sont ultra-précis, les mélodies accrocheuses à en faire pâlir les algorithmes de TikTok, et l’énergie est tellement contagieuse que même votre voisin du dessus va finir par taper du pied. 

Guy prouve une fois de plus qu’ils ne sont pas juste des survivants d’une époque révolue, mais bien des visionnaires qui savent comment faire danser les foules, qu’elles aient 20 ou 50 ans. 

Et avouons-le, dans un monde où la musique se consomme souvent en playlists éphémères, un morceau comme celui-là, ça fait du bien : c’est du solide, du construit, du pensé pour les corps en mouvement.

Alors, à tous ceux qui pensaient que le funk était mort avec les platines vinyle, « Dancin’ » est là pour leur clouer le bec.

Le funk, mes amis, c’est immortel.

« I See You » de Best Man : la soul moderne qui groove

Passons à quelque chose d’un peu plus cinématographique avec « I See You » de Best Man, tiré de la BO du film « Barbershop ». 

Ce morceau, c’est un bijou de soul moderne, mais avec une touche funk qui le rend explosif. 

Dès les premières notes, on est plongés dans une ambiance à la fois chaleureuse et électrique, comme si on était assis dans le fauteuil d’un barber shop en train de discuter musique entre deux coupes.

Best Man, c’est un peu le caméléon musical : il naviguer entre soul, funk et beats urbains avec une facilité déconcertante. « I See You », c’est un titre qui respire l’authenticité, avec des cuivres qui chatouillent les oreilles, une ligne de basse qui grogne comme un moteur de muscle car, et une voix qui vous enveloppe comme une vieille doudoune en hiver. 

Ce qui est génial avec ce morceau, c’est qu’il ne cherche pas à copier les recettes du passé.

Au contraire, il les réinterprète, les mélange avec des influences contemporaines, et en sort un son unique, à la fois rétro et résolument actuel.

Et puis, il y a ce côté « feel good » qui fait que, même si vous avez passé une journée de merde, « I See You » va vous redonner le sourire. 

C’est le genre de titre qui transcende les genres et qui prouve que la musique noire américaine, dans toutes ses formes, reste une force inarrêtable. 

Alors, si vous cherchez un morceau pour égayer vos trajets en métro ou pour ambiancer vos soirées entre potes, foncez. Votre playlist vous remerciera.

« Aimé’s Kitchen 99 » par Aimé : la surprise qui détonne

Là, on entre dans le territoire de l’inattendu. « Aimé’s Kitchen » d’Aimé . 

Imaginez une cuisine musicale où tous les ingrédients sont dosés à la perfection : une orchestration riche, des mélodies qui s’enroulent autour de vous comme de la fumée de barbecue, et une voix qui vous murmure des trucs à l’oreille alors que vous êtes en train de danser comme si personne ne vous regardait.

Aimé, c’est un animateur qui ose.

Il ne se contente pas de suivre les tendances, il les créé. 

Avec ce show dominical, il nous offre une expérience sensorielle : on entend les influences funk, bien sûr, mais aussi des touches de jazz, de soul, et même une pointe d’électro. 

Le résultat ? 

Un moment surprenant, qui séduit, et qui vous donne envie d’en savoir plus sur les artistes derrière ces petits chef-d’œuvre.

Ce qui est fascinant avec « Aimé’s Kitchen », c’est cette impression de familiarité mêlée à une fraîcheur qui vous maintient en haleine. 

C’est comme si on redécouvrait le funk à travers un prisme nouveau, plus expérimental, plus audacieux.

Et ça, c’est exactement ce dont le genre a besoin pour continuer à évoluer sans se trahir.

« Wake Up & Move (SLY Edit) » d’Eddy Rosemond : le groove qui réveille les morts

Si vous cherchez un titre qui va vous électriser dès le réveil (ou qui va vous sauver d’une soirée trop sage), « Wake Up & Move (SLY Edit) » d’Eddy Rosemond est fait pour vous. 

Ce morceau, c’est une explosion de groove, un appel à l’action, une déclaration de guerre à l’immobilité. 

Dès que la basse entre, c’est fini : vos pieds commencent à bouger tout seuls, votre tête se balance, et vous voila parti pour un voyage sans retour vers le pays du funk pur et dur.

Eddy Rosemond, c’est un peu le sorcier du groove. 

Il prend les codes du funk classique, les passe à la moulinette de sa créativité, et en ressort un truc qui est à la fois hommage et révolution. 

« Wake Up & Move », c’est un titre qui respire l’urgence : il ne vous demande pas poliment de danser, il vous ordonne de bouger. 

Et le pire, c’est que vous obéissez sans discuter.

Ce qui est génial avec cette version éditée par SLY, c’est qu’elle ajoute une couche de modernité qui rend le morceau encore plus percutant. 

Les beats sont plus serrés, les transitions plus abruptes, et l’énergie globale est décuplée. 

Bref, c’est le genre de titre qui va réveiller vos playlists et qui va faire de vous le roi ou la reine des pistes de danse. 

Alors, si vous avez besoin d’un coup de boost, vous savez ce qu’il vous reste à faire.

« Let The Music Play (Original 12 Version) » de Shannon : le classique qui ne prend pas une ride

On termine ce tour d’horizon avec un monument, un pilier du funk : « Let The Music Play » de Shannon, dans sa version originale 12 pouces. 

Ce morceau, c’est l’hymne intemporel des amateurs de groove, un titre qui a fait danser des générations entières et qui continue de faire vibrer les dancefloors en 2025.

Pourquoi en parler aujourd’hui ? 

Parce que certains classiques ne vieillissent jamais. « Let The Music Play », c’est plus qu’un morceau, c’est une philosophie : celle d’une musique qui unit, qui libère, qui fait oublier les galères du quotidien le temps d’une chanson. 

Et puis, avouons-le, dans un monde où tout va trop vite, où les tendances changent tous les trois matins, un titre comme celui-là, ça fait du bien. 

C’est un rappel que le funk, à la base, c’est avant tout une célébration de la vie, un moyen de se connecter aux autres à travers le rythme et la mélodie.

Cette version originale, avec ses nappes de synthé légendaires, sa basse qui groove comme un métronome infernal, et son chant envoûtant, c’est un voyage dans le temps. 

Mais attention, ce n’est pas de la nostalgie pure et simple : c’est la preuve que les bons morceaux traversent les époques sans perdre une once de leur puissance. 

Et en 2025, alors que le monde a plus que jamais besoin de joie et d’énergie, « Let The Music Play » résonne comme un manifest.

Le funk en 2025 : un genre plus vivant que jamais

Alors, voilà. Cinq morceaux, cinq facettes différentes du funk contemporain.

Cinq preuves que le genre n’est pas mort, qu’il ne se contente pas de survivre, mais qu’il innove, qu’il inspire, qu’il fédère.

Que ce soit à travers des légendes comme Guy ou Shannon, ou des nouveaux talents comme Best Man ou Aimé, le funk continue de faire danser le monde, de casser les barrières, et de réinventer les règles.

 

Alors, à tous les amoureux du groove, aux passionnés de basses qui font trembler les murs, aux danseurs fous et aux mélomanes exigeants : foncez.

Ces titres sont faits pour être écoutés à fond, partagés sans modération, et dansés comme si demain n’existait pas.

Parce que le funk, c’est plus qu’un style musical.

C’est une attitude, une philosophie, une façon de voir la vie.

Et vous, quel est le morceau qui vous fait vibrer en ce moment ?

Quel est ce titre qui vous donne envie de tout lâcher pour vous jeter sur la piste ?

Partagez vos pépites, parce que la musique, ça se vit ensemble.

Et comme le dit si bien Shannon : « Let the music play »… et que la fête commence !

 

---

discofunknew jack swing