Listeners:
Top listeners:
Radio Funk Channel
today 722 87 4
Ce qu’il faut retenir : le tube « Rockin’ Robin » du jeune Michael Jackson débarque officiellement dans la saison 5 de Stranger Things ! Robin Buckley s’improvise DJ avec ce morceau culte dès le premier épisode, apportant une dose de funk vital avant le chaos. Détail qui tue : c’est la version remasterisée de 2013 qui résonnera à Hawkins.
L’attente interminable pour la saison finale vous rend dingue et vous cherchez du concret à vous mettre sous la dent ?
C’est officiel, le duo rockin robin stranger things va secouer Hawkins dès le premier épisode.
Je vous balance les détails exclusifs sur la scène de Robin et cette version remasterisée qui change tout.
Table of Contents
ToggleOn ne tourne pas autour du pot : Rockin’ Robin débarque bien dans la saison 5 de Stranger Things.
C’est l’information concrète que toute la communauté attendait avec une impatience non dissimulée.
Attention, on parle ici de la version chantée par le jeune Michael Jackson, spécifiquement celle remasterisée en 2013.
Ce détail technique change tout pour l’ambiance sonore, car le grain audio est d’une clarté absolue.
L’info a été validée par plusieurs sources fiables et relayée par les médias spécialisés, confirmant cette rumeur persistante.
D’après les fuites, ça se passe dès le tout premier épisode de cette ultime saison.
On retrouve le personnage de Robin Buckley qui s’improvise DJ, prenant le contrôle des ondes avec une assurance qu’on adore.
L’ambiance se veut légère, presque insouciante.
Robin tente de glisser une dédicace en direct juste après avoir lancé le morceau, apportant sa touche d’humour habituelle.
Mais la fête tourne court car la transmission coupe net, installant un suspense immédiat lié à la menace de l’Upside Down.
Marquez vos calendriers, car les choses vont aller très vite.
Le premier volume numérique de la bande originale arrive le 28 novembre 2025, créant déjà un buzz énorme.
Pour les puristes qui veulent du tangible, il faudra patienter jusqu’au 30 janvier 2026.
Legacy Recordings nous gâte avec des sorties CD, et même en cassette pour le style rétro.
Le vrai trésor, c’est ce vinyle de couleur rouge édition spéciale.
En attendant, écoute du bon son sur 🎧 https://radiofunk.radio, car ces pièces vont s’arracher très vite.
Ce tube ne sort pas de nulle part, croyez-moi. Écrit par Leon René, « Rockin’ Robin » a été enregistré pour la première fois par Bobby Day en 1958.
C’est un véritable classique du R&B et du rock and roll.
Le succès a été immédiat et assez fulgurant pour l’époque.
La chanson s’est classée numéro 2 au Billboard Hot 100, devenant un hit instantané grâce à son rythme entraînant et ses sifflements caractéristiques qui restent en tête.
C’est pourtant en 1972 que les Jackson 5 et leur leader reprennent le titre.
Cette version est tirée du tout premier album solo de Michael, le mythique « Got to Be There ».
Ce qui rend cette mouture unique, c’est l’énergie juvénile et la voix incroyable d’un Michael Jackson âgé de seulement 13 ans. La production Motown apporte une touche soul et funk qui modernise complètement le morceau original.
Si vous voulez saisir l’ampleur de ce talent précoce, jetez un œil à la discographie de Michael Jackson et des Jackson 5.
C’est fascinant de voir l’évolution de ces légendes.
Vous vous demandez sûrement : pourquoi choisir cette version spécifique pour la série ?
La réponse tient en un mot : la clarté.
Le remastering de 2013 offre une qualité sonore supérieure, avec des basses bien plus présentes et une voix plus nette.
C’est un choix parfait pour l’impact sonore dans une production moderne comme Stranger Things.
Le choix d’une chanson n’est jamais anodin dans Stranger Things.
Et pour « Rockin’ Robin », tout pointe vers un personnage en particulier : la géniale Robin Buckley.
Vous vous souvenez de son arrivée au Scoops Ahoy dans la saison 3 ?
Avec son intelligence vive et son humour cinglant, elle a immédiatement éclipsé Steve pour devenir la favorite des fans.
Mais son parcours a pris une dimension bien plus profonde avec son coming-out dans les toilettes du cinéma.
Cette scène, d’une honnêteté brutale, a transformé Robin en un véritable modèle de représentation LGBT, touchant une audience massive qui avait besoin de cette visibilité.
Elle n’est plus la simple collègue vendeuse de glaces. Robin s’est imposée comme un pilier du groupe, absolument indispensable dans la lutte stratégique contre Vecna.
Pourquoi ce titre précis de Michael Jackson ? C’est évident. « Rockin’ Robin » est une explosion de joie insouciante qui tranche radicalement avec la noirceur habituelle de la série.
Ce contraste saisissant reflète la capacité de Robin à apporter de la légèreté et de l’espoir, même quand la situation semble désespérée à Hawkins.
Le titre est aussi un jeu de mots immanquable avec son prénom.
C’est typiquement le genre de clin d’œil malicieux que les frères Duffer adorent glisser pour les spectateurs attentifs.
Associer ‘Rockin’ Robin’ à ce personnage, c’est lui offrir un hymne personnel. Un moment de pure lumière avant la confrontation finale, qui ancre son identité avec force et optimisme.
Dans l’univers de Stranger Things, la musique est bien plus qu’un fond sonore ; c’est une arme de survie.
On l’a vu avec Max échappant à Vecna grâce à Kate Bush.
Pour Robin, qui endosse ici un rôle de « DJ », diffuser ce morceau funk est un acte de résistance.
C’est sa manière de reprendre le contrôle, de communiquer son énergie au groupe et d’affirmer son identité face au chaos grandissant.
Ce choix musical consolide son arc narratif, prouvant qu’elle est désormais celle qui donne le rythme à l’équipe.
Vous vous souvenez du choc « Running Up That Hill » ?
Ce titre de Kate Bush, sorti en 1985, a littéralement pulvérisé les charts près de 40 ans plus tard.
Une résurrection musicale que personne n’avait vu venir, propulsée par une simple scène de série.
Une génération entière a découvert ce morceau pour la première fois.
Résultat ?
Une explosion de 8 700 % des écoutes et une première place sur iTunes.
Même constat pour « Master of Puppets » de Metallica, qui a offert au groupe un retour de hype aussi brutal qu’inattendu.
La question brûle les lèvres : « Rockin’ Robin » va-t-il casser Internet ?
La différence ici, c’est que le tube de Michael Jackson est déjà un monstre sacré de la soul, contrairement au joyau plus confidentiel de Kate Bush.
Mais attention, son intégration dans une scène clé du premier épisode de la saison finale change la donne.
C’est un placement chirurgical pour capturer l’audience dès le départ.
« Le ‘Stranger Things Effect’ ne se contente pas de faire redécouvrir une chanson. Il la charge d’une nouvelle signification émotionnelle, la liant pour toujours à l’histoire de ses personnages. »
Stranger Things ne vend pas juste une histoire, mais une machine à voyager dans le temps.
Cette nostalgie des années 80 est devenue leur arme fatale, dictant l’esthétique de toute une époque actuelle.
La bande-son n’est pas un accessoire, c’est le cœur du réacteur.
Chaque piste est sélectionnée avec une précision maniaque pour servir le récit.
Pour plus de pépites soul et funk, passez une tête ici : 🎧 https://radiofunk.radio.
Même si « Rockin’ Robin » date des années 70, il injecte cette dose de « feel-good » intemporelle indispensable avant le chaos final.
Michael Jackson ne sera pas la seule star à faire vibrer Hawkins pour ce dernier tour de piste.
La bande-son de la saison 5 s’annonce comme un véritable all-star game de la musique. 🎧 https://radiofunk.radio
On ne parle pas de petits joueurs ici.
La reine Diana Ross débarque dans la playlist, suivie par les légendes suédoises d’ABBA.
Et pour couronner le tout, les pionniers de l’électro Yello répondent présent.
C’est un mélange explosif qui nous attend.
On passe de la soul envoûtante de Ross à la pop imparable d’ABBA sans prévenir.
Ajoutez la new wave décalée de Yello, et vous tenez une ambiance sonore riche.
Les frères Duffer ne font pas semblant.
Ils ont clairement pioché la crème de la musique des années 70 et 80.
Vous voulez savoir exactement ce qui vous attend ? J’ai compilé les forces en présence pour cette bande-son finale. Ce tableau vous donne un aperçu rapide des titres confirmés par les sources officielles.
| Artiste | Chanson (si connue) | Genre musical | Potentiel narratif |
|---|---|---|---|
| Michael Jackson | « Rockin’ Robin » | Soul/Funk/Pop | Hymne personnel de Robin, moment de joie avant le chaos. |
| Diana Ross | « Upside Down » | Soul/Disco | Scène émouvante ou de bal de fin d’année ? |
| ABBA | « Fernando » | Pop/Disco | Séquence de groupe, montage feel-good ou ironique. |
| Yello | « Oh Yeah » | Synth-pop/New Wave | Scène d’action, de technologie ou d’expérimentation scientifique. |
Il faut rendre hommage à Nora Felder, la superviseuse musicale de la série.
C’est elle l’architecte brillante derrière ces choix musicaux devenus iconiques.
Elle ne se contente pas de choisir des titres, elle sculpte l’identité sonore de Hawkins.
Son boulot va bien au-delà de la simple sélection de pistes.
Elle doit négocier des droits souvent complexes et coûteux, comme ce fut le cas pour Kate Bush.
C’est un vrai parcours du combattant.
Le succès mondial de la BO de Stranger Things prouve son talent exceptionnel.
Elle a un flair indéniable.
Et comme toujours avec un phénomène comme Stranger Things, l’histoire ne s’arrête pas à l’écran.
La machine marketing est déjà en marche.
Vous pensiez avoir tout vu ?
Détrompez-vous, car Funko frappe fort avec le set Funko Pop! Town « Rockin’ Robin with The Squawk ».
C’est un produit dérivé qui sort directement de la bande-son.
Les fans s’arrachent déjà cette pièce avant même la diffusion.
On y retrouve Robin Buckley, fidèle à elle-même, en pleine action.
Elle semble gérer une station de radio ou une platine, capturant l’essence de la scène.
C’est le détail qui tue.
Notez bien ce détail pour vos étagères : c’est le numéro 50 de la gamme « Town ». Les collectionneurs savent que ce chiffre compte.
Ce n’est pas un simple bout de plastique, c’est un spoiler déguisé en jouet.
Funko immortalise une séquence précise de la saison 5 avant que nous ne l’ayons vue.
C’est une stratégie marketing franchement brillante.
On achète littéralement un morceau du futur.
Le nom « with The Squawk » m’interpelle sérieusement.
Ça ressemble à un nom de station pirate ou à un élément clé du décor.
C’est le genre d’indice qui rend fou les théoriciens.
Voici ce qu’il faut retenir sur cette pièce maîtresse :
Stranger Things ne vend pas juste une série, elle vend toute une époque révolue.
Cet écosystème économique repose entièrement sur notre soif de rétro.
C’est une machine à cash impressionnante.
Des figurines aux rééditions de vinyles, tout est calibré pour vider nos portefeuilles.
Le fan veut posséder une part physique de cet univers virtuel.
C’est une stratégie commerciale qui ne laisse rien au hasard.
On tombe tous dans le panneau.
Le cas « Rockin’ Robin » illustre parfaitement cette fusion entre musique et plastique.
C’est le souvenir tangible d’une scène culte.
Oubliez un instant le gant pailleté de « Billie Jean ».
Bien avant de devenir une icône planétaire, Michael Jackson était déjà un monstre sacré de la soul et du funk au sein des Jackson 5.
C’est là, dans cette énergie brute, que tout a démarré.
La Motown a sculpté son identité artistique dès le départ.
Il buvait littéralement les performances de James Brown ou Jackie Wilson, copiant chaque mouvement.
Cette école de l’excellence a forgé sa présence scénique unique.
Pour comprendre comment ce gamin est devenu une légende, jetez un œil à la biographie de Michael Jackson. Son ascension reste un modèle.
Prenez des titres comme « ABC » ou « I Want You Back ».
On les classe souvent en bubblegum soul, mais écoutez attentivement la rythmique.
Ces lignes de basse préfigurent clairement le funk et le disco.
C’est une mécanique implacable qui vous attrape immédiatement.
« Rockin’ Robin » semble plus légère, presque naïve en surface.
Pourtant, l’interprétation vocale de Michael y injecte une puissance redoutable.
Il ancre ce morceau pop directement dans la grande tradition de la musique noire américaine.
Ce mélange des genres a ouvert la voie aux dancefloors des années 70.
Si vous voulez saisir cette évolution, regardez l’histoire du disco.
Vous verrez que les graines étaient déjà plantées.
Cette musique possède une fraîcheur qui refuse de vieillir.
La production léchée de la Motown, couplée à une joie pure, traverse les décennies sans prendre une ride.
C’est du talent à l’état brut.
L’intégration de ce titre dans Stranger Things dépasse le simple clin d’œil rétro.
Les créateurs savent qu’une mélodie parfaite touche tout le monde.
C’est la reconnaissance qu’une bonne chanson est éternelle et peut toucher n’importe qui, n’importe quand.
C’est la magie de la soul, du funk, et de Michael Jackson.
Une magie qui va de nouveau opérer à Hawkins.
Alors, c’est confirmé et ça va être dingue !
Retrouver le jeune Michael Jackson dans Stranger Things, c’est juste le coup de génie.
J’ai tellement hâte de voir Robin s’éclater sur ce tube intemporel.
Préparez vos casques, car la saison 5 s’annonce déjà légendaire !
Carrément ! C’est même l’un des moments les plus marquants de la saison 3.
Souviens-toi de cette scène hyper touchante dans les toilettes du Starcourt Mall, où elle avoue à Steve qu’elle craquait pour une fille, Tammy Thompson, et non pour lui.
C’est officiel, Robin fait partie de la commu et c’est génial !
D’ailleurs, le choix de Rockin’ Robin pour la saison 5 n’est pas anodin à mes yeux.
C’est comme un hymne à sa personnalité pétillante et à son identité qu’elle assume enfin pleinement.
J’adore voir ce personnage rayonner avec du Michael Jackson en fond sonore, ça lui va tellement bien !
Impossible d’oublier ça ! Eddie Munson a littéralement cassé internet en jouant Master of Puppets de Metallica sur le toit de sa caravane.
C’était LA scène épique de la saison 4 pour attirer les chauve-souris de l’Upside Down.
Un moment de bravoure pur rock n’ roll qui a marqué les esprits !
C’est l’exemple parfait de l’effet Stranger Things : une vieille chanson qui redevient un tube mondial.
Et je mets ma main au feu que la version remasterisée de Rockin’ Robin va connaître le même destin dans cette saison finale.
On passe du metal au funk, mais la magie opère toujours quand la série s’en mêle !
C’est Vecna, alias Henry Creel ou 001.
Un sorcier maléfique qui vit dans l’Upside Down et qui prend un malin plaisir à briser ses victimes psychologiquement avant d’attaquer.
Franchement, il fait froid dans le dos et il semble quasi invincible.
Heureusement, on sait que la musique est son point faible !
C’est notre seule arme pour s’échapper de son emprise mentale.
C’est pour ça que la bande-son de la saison 5, avec des titres joyeux comme celui des Jackson 5, est super importante.
C’est pas juste pour l’ambiance, c’est littéralement une question de survie face à ce monstre !
Voyage musical entre funk, soul et yacht rock à la sauce Californienne.
15:00 - 16:00
Les nouveautés funk & disco sélectionnées par Éric N.C chaque dimanche.
16:00 - 18:00
1
play_arrowJackson 5
2
play_arrowJackson 5
3
play_arrowMichael Jackson
4
play_arrowJackson 5
5
play_arrowJackson 5
Copyright Radio Funk - Disco Funk & New Jack.